22nov 07

La tenue d’un référendum sur le traité européen de Lisbonne est une ardente nécessité pour notre démocratie. C’est pourquoi des personnalités diverses, dont certaines avaient déjà pris l’initiative d’appels et de pétitions en faveur de cette consultation populaire, ont décidé de rassembler leurs efforts dans un Comité national pour le référendum (ci-dessous appel et premiers signataires). Le CNR s’adresse à tous ceux, quelle que soit leur opinion sur le nouveau traité, qui affirment la nécessité que le suffrage universel se prononce sur ce traité. Vous trouverez ci-dessous le texte de l’appel et la liste des premiers signataires. Un site est ouvert à l’adresse www.nousvoulonsunreferendum.eu . Une affiche sera disponible dans les prochains jours.  A Paris, dès samedi on pourra s’en procurer au siège du journal "Politis".  Si, vous aussi, vous souhaitez que la décision revienne aux citoyens, n’hésitez pas à soutenir et à faire connaître la démarche du Comité National pour un Référendum. A tous les niveaux territoriaux, dans toutes les professions, individuellement ou collectivement, vous pouvez vous approprier cette démarche. Faites là connaitre avec le soucis de donner à d’autres le moyen d’y participer à leur tour. Selon moi, les élus en particulier, ont un devoir spécial d’engagement et d’action. Représentants du suffrage universel, ils doivent en être les premiers défenseurs. Leur action en faveur du réferendum, individuelle ou collective auront une grande importance pour le résultat final. Mais bien sur, par dessus, dans ce domaine également c’est la mobilisation populaire qui sera la clef du succès!

Appel du Comité National pour un Référendum

Un nouveau traité –dit traité de Lisbonne- vient d’être approuvé par les dirigeants européens suite au rejet du projet de traité constitutionnel refusé majoritairement par les Français et les Néerlandais lors des référendums de mai et juin 2005. C’est donc à nouveau le suffrage universel qui doit trancher par référendum. Sur un sujet qui a tant d’influence sur la vie de chacun et l’avenir de la France, l’organisation d’un nouveau référendum est une exigence démocratique majeure pour notre pays. C’est aussi une nécessité pour la construction européenne qui doit être fondée sur l’adhésion des peuples et la souveraineté populaire. Seule une mobilisation sans précédent des citoyens peut obliger le président de la République à organiser un référendum. Il y sera contraint s’il n’obtient pas, début 2008, 3/5 des suffrages exprimés des parlementaires pour la modification préalable de la Constitution française, nécessaire à la ratification du nouveau traité européen. Ainsi les députés et les sénateurs ont le pouvoir d’imposer le référendum, en votant contre cette révision de notre Constitution. C’est pourquoi des personnalités diverses, les signataires de différents appels déjà lancés sur ce sujet, ont décidé de rassembler leurs efforts au sein d’un Comité National pour un Référendum. Nous appelons en urgence toutes celles et tous ceux qui sont attachés à la démocratie et à une Europe fondée sur l’adhésion des peuples, qu’ils soient pour ou contre ce nouveau traité, à nous rejoindre pour empêcher un déni de démocratie et exiger la tenue d’un référendum. Premiers signataires : ABERGEL Gilbert, Ancien grand maître GODF; AGUIRRE Léonce, LCR; AMARA Jean-Claude, Droits devant!; ARIES Paul, Politologue; ATTAR Michèle, Gauche Avenir; AUTAIN Clémentine, Mensuel Regards; AUTAIN François, Sénateur MRC; AZAM Geneviève, Attac France; BACQUET Jean-Paul, Député PS; BATAILLE Christian, Député PS; BAVAY Francine, Les Verts; BEN HIBA Tarek, Alternative citoyenne; BEN SADIA Hamida, Alternative citoyenne; BERGE-LAVIGNE Maryse, Sénatrice PS; BEYNEL Eric, Syndicaliste douanier; BOISLAROUSSIE Jean-Jacques, Les Alternatifs; BORE Jean-Paul, Membre du comité des régions d’Europe, PCF; BORVO-COHEN SEAT Nicole, Sénatrice PCF; BOUMEDIENE Alima, Sénatrice Les Verts; BOURGAIN Michel, Les Verts; BOVE José, ; BRAY Florence, Cactus/La gauche!; BUFFET Marie-George, Secrétaire nationale du PCF; CABANES Claude, Journaliste, Gauche Avenir; CANDAR Gilles, Historien; CARASSUS Pierre, MARS – Gauche Républicaine; CASSEN Bernard, Journaliste, association Mémoire des Luttes; CHERFI Madjid, Chanteur de Zebda ; CHEVENEMENT Jean-Pierre, Ancien ministre, président d’honneur du MRC; CHOMBEAU Christiane, Journaliste; CIRERA Daniel, PCF; COCQ François, MARS – Gauche Républicaine; COLLOMBAT Pierre-Yves, Sénateur PS; COQUEREL Eric, MARS – Gauche Républicaine; CORCUFF Philippe, Sociologue; COTTA Jacques, Journaliste et réalisateur; COUPE Annick, Union syndicale Solidaires; COURS-SALIES Pierre, Coordination des collectifs antilibéraux; DAURIAC Jean-Francis, Observatoire de la Démocratie; DEBONS Claude, Ancien animateur du Collectif du 29 mai; DEBREGEAS Georges, Sauvons la Recherche; DEFROMENT René, Syndicaliste; DELAPIERRE François, PRS; DELUCHAT André, Ancien responsable syndical national; DELY Renaud, Journaliste; DENIS Ariel, Mouvement de la Paix; DESALLANGRE Jacques, Député; DESESSARD Jean, Sénateur Les Verts; DETHYRE Richard, Sociologue; DIEHLMANN Françoise, Forum de la Gauche Citoyenne; DOLEZ Marc, Député PS; DOUAT Rémy, Mensuel Regards; DREYFUS-SCHMIDT Michel, Sénateur PS; ECKERT Christian, Député PS; FERREIRA Anne, Député européen PS; FILOCHE Gérard, D&S; FOURNEYRON Valérie, Député PS; FOURRE Jacques, Responsable associatif; FRANCO Hélène, Magistrate ; GADREY Jean, Economiste; GARRIDO Raquel, PRS; GARROUSTE Laurent, Inspecteur du travail; GAUTHIER Elisabeth, Transform!; GAYSSOT Jean-Claude, Ancien ministre; GENEREUX Jacques, Economiste; GIRAUD Joel, Député PRG; GONNEAU Jean-Luc, Cactus/La gauche!; GUERIN Julien, D&S; HALPHEN Eric, Magistrat, écrivain; HARRIBEY Jean-Marie, Attac France; HEBERT Jean-Paul, Economiste; HUSSON Michel, Economiste; HUTIN Christian, Député MRC; JANQUIN Serge, Député PS; JOURNET Alain, Sénateur PS; KHALFA Pierre, Union syndicale Solidaires; KRIVINE Alain, LCR; LAIGNEL André, Député européen PS; LAMBERT Jérôme, Député PS; LANGLOIS Bernard, Journaliste; LE NEOUANNIC Pascale, PS; LE STRAT Claire, Politiste; LE STRAT Anne, Les Verts; LEFEBVRE Rémi, Universitaire; LEFORT Jean-Claude, Député honoraire; LEMAIRE Gilles, Ecologiste, faucheur volontaire; LIENEMANN Marie-Noëlle, Député européen PS; LORAND Isabelle, Médecin; MANDRAUD Isabelle, Journaliste; MANGENOT Marc, Economiste-sociologue; MANGEOT Philippe, Enseignant; MARQUAILLE Jeaninne, Forces Militantes; MARTELLI Roger, Fondation Copernic; MASSIAH Gus, CEDETIM-IPAM; MAUREL Emmanuel, Parti Pris; MELENCHON Jean-Luc, Sénateur PS, président de PRS; MERIEUX Roland, Les Alternatifs; MERME Henri, Les Alternatifs; MESQUIDA Kleber, Député PS; MEXANDEAU Louis, Ancien ministre, Forces Militantes; MICHEL Jean-Pierre, Sénateur PS; MICHEL Jean, Député PS; MLATI Fatiha, Cactus/La gauche!; NAÏR Sami, MRC; NATHANSON Jean-Michel, Union syndicale Solidaires; NAUDY Michel, Journaliste; NERI Alain, Député PS; PELLETIER Willy, Sociologue, coordinateur géneral de la Fondation Copernic; PICQUET Christian; QUILES Paul, Ancien ministre, Gauche Avenir; REVOL René, Vice-président de PRS; REYNAUD Marie Line, Député PS; ROGEMONT Marcel, Député PS; ROUSSEAU Michel, Marches Européennes; ROUSSEL Roselyne, D&S; SALESSE Yves, ; SANDRIER Jean-Claude, Député PCF; SARRE Georges, MRC; SIEFFERT Denis, Journal Politis; SIRE-MARIN Evelyne, Magistrate, co-présidente de la Fondation Copernic; SOUDAIS Michel, Journaliste; SPIZZICHINO Robert, Forces Militantes; TEPER Bernard, UFAL; TRICOT Catherine, Mensuel Regards; TROUVE Aurélie, Attac France; VACHERON Raymond, Syndicaliste; VACHETTA Roselyne, LCR; VENTURA Christophe, Mémoire des Luttes; VIDALIES Alain, Député PS; ZARKA Pierre, OMOS


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  1. H2 dit :

    Que disait en 2004 lors d'un " Think Tank ", un club de réflexion prôche de la majorité UMP, le Ministre de la Fonction Publique, M. Renaud Dutreil au Café Restaurant Pépita à Paris ?

    Ceci :

    " Le problème que nous avons en France, c'est que les gens sont contents des services publics. L'hôpital fonctionne bien, l'école fonctionne bien, la police fonctionne bien. Alors il faut tenir un discours, expliquer que nous sommes à deux doigts d'une crise majeure - c'est ce que fait très bien Michel Camdessus- mais sans paniquer les gens ; car à ce moment-là, ils se recroquevillent comme des tortues."

    Il admettait alors dans ses propos que les français étaient satisfaits de la qualité du service public rendu par les fonctionnaires, quels qu'ils soient.
    M. Dutreil n'avait -il pas d'ailleurs ajouté : " A l'heure actuelle, nous sommes un peu méchants avec les fonctionnaires. Leur pouvoir d'achat a perdu 4,5 % depuis 2000 "

    Ainsi, c'est bien en fragilisant de l'intérieur (sous effectif, baisse d'investissement, etc.) les Services Publics, qu'il comptait avec ses amis rendre
    ceux-ci impopulaires auprès des populations. Une impopularité qui leur servira de prétexte pour les privatisations à venir, sachant bien que les gens ne sont pas informés par les attaques à l'oeuvre depuis de nombreuses années qui dégradent directement la qualité de ces mêmes services publics.

    Avant que les injures pleuvent sur moi, je précise que je ne suis pas fonctionnaire mais employé précaire.
    Vaut mieux préciser au vu de certains qui confondent toutes les pensées de gauche "en une " niant la pluralité de ce mouvement dans l'Histoire et sa capacité de transformation interne.
    Perdus dans leurs clichés d'un autre temps, ceux ci professent des injures et des anathèmes dès que nous nous déclarons "de gauche ".
    Nous sommes habitués à leur haine et à leur entreprise de dénigrement sous prétexte "d'ouverture".
    Nous devons convaincre en informant le plus de personnes. Ce seront à elles de voir ce qu'elles en pensent.
    Elles sauront n'en doutons pas, formuler leurs capacités d'action en créant elles -mêmes leur conditions de possiblités.

  2. Instit dit :

    Le 5 novembre 2007, le journal irlandais The Irish Times et l’Institut de sondage TNS font un sondage concernant le référendum de mars 2008 sur le traité de Lisbonne :
    - 62 % des Irlandais interrogés ne savent pas ou n’ont pas d’opinion
    - 25 % sont pour le OUI au traité de Lisbonne
    - 13 % sont pour le NON.

    « Minister for Foreign Affairs Dermot Ahern today said he expects Ireland to ratify the EU Reform Treaty despite an opinion poll showing only 25 per cent of the electorate intend to vote for it in next year's referendum. An The Irish Times /TNS Mrbi opinion poll published this morning found 13 per cent of people will vote against the Treaty agreed in Lisbon last month, while a massive 62 per cent say they don't know or have no opinion. “

    http://www.ireland.com/newspaper/breaking/2007/1105/breaking39.html

    Il faudra suivre de très près ce qui va se passer en Irlande jusqu’en mars 2008. Si les Irlandais votent NON, le traité de Lisbonne est mort.

  3. Zorba dit :

    C'est amusant de voir comme Cyrilounette explique doctement qu'il ne faut pas donner trop d'importance à mes "nalyses" de comptoir et pourtant il ne peut s'empêcher de répliquer instantanément et de façon insultante à mes prises de positions.

    Je laisse aux personnes plus spécialisées que moi dans les méandres de l'esprit le soins de tenter de déchiffrer le rapport très compliqué que Cyrilounette entretien avec l'activité masturbatoire. Frustration ? Solitude ? Impuissance ? Manque d'estime de soi ? Enfance difficile ? Timidité excessive ? Je ne sais... Souhaitons lui de grandir et d'être un jour capable de gérer sereinement ses relations avec les gens.

    Que la petite Cyrilounette prenne exemple sur H2 dont la note n° 101 ci-dessus ne manque ni de pertinence, ni de réflexion construite sur le rôle de la gauche, ou plutôt des gauches.

    Tu vois Cyrilounette, tous les espoirs te sont permis. Aller, mange ta soupe et procure toi plein de plaisirs solitaires, c'est encore le mieux que tu ais à faire pour grandir.

  4. natleval dit :

    Au sujet de l'article « L'opportunisme humanitaire de Chávez»
    publié par Libération le 19 novembre

    (http://www.liberation.fr/rebonds/292184.FR.php)

    Un relevé des contrevérités et des omissions s'impose

    Par Gaël Brustier et Christophe Ventura, militants altermondialistes

    Dans son édition du 19 novembre, Libération a publié une tribune présentée par 22 universitaires, intellectuels, écrivains, philosophes, journalistes, artistes, diplomates internationaux (soutenue par 42 autres « personnalités internationales ») dénonçant la supposée dérive anti-démocratique du président vénézuélien Hugo Chávez et demandant aux « démocrates du monde de ne pas laisser mourir l'une des plus anciennes démocraties d'Amérique latine ».

    Quoi que les uns et les autres pensions de la personnalité du président vénézuélien et de la nature de la « révolution bolivarienne », il convient de ne pas tricher avec les faits qui, respectés, doivent être portés au jugement du lecteur afin qu'il puisse, librement et en conscience, se forger une opinion sur un sujet concernant un pays situé à des milliers de kilomètres des rédactions parisiennes. De la qualité de l'information dépend celle du débat démocratique. La négliger au profit d'une démarche partisane maltraite le débat d'idées. En proposant ce texte truffé de contrevérités, les auteurs - dont certains sont des intellectuels reconnus dans l'espace public français - abusent les lecteurs et le débat démocratique.

    - Sur le projet de réforme de la Constitution vénézuélienne

    La première preuve du caractère anti-démocratique d'Hugo Chávez est évidente : (son) « projet de réforme (a été) rédigé sans consultation».

    C'est tout simplement faux. Préparée par le président de la République bolivarienne du Venezuela et l'Assemblée nationale du pays, cette réforme a donné lieu à l'élaboration d'un projet adopté par le Congrès le 2 novembre. Dans le cadre de son mandat, l'Assemblée nationale a procédé à des consultations des secteurs organisés de la société (partis, syndicats, étudiants, patronat, secteur agricole, mouvements indigènes etc.).

    Ici, les auteurs et les signataires omettent volontairement de préciser qu'une large consultation a eu lieu dans tout le pays entre le 15 août et le 15 octobre. Plus de 9 000 ateliers publics ont notamment été organisés (auxquels ont participé, localement, des forces de l'opposition). Des dizaines de milliers de communications téléphoniques (un numéro spécial a été créé à cet effet) ont également été traités.

    Bien qu'ayant largement boycotté ce processus de débat public au niveau national, l'opposition, via les porte-parole de ses principales forces (Acción democrática et Movimiento al socialismo - sociaux-démocrates -, Primero justicia -droite ultra -, Fedecameras - le syndicat patronal -), sont intervenus devant les parlementaires en session.

    Le projet aurait également été élaboré «sans respecter la procédure établie par la Constitution en vigueur ». C'est un mensonge. La procédure a rigoureusement été suivie. Elle est établie par les articles 342 et 343 de la Constitution qui précisent que « l'initiative de la réforme de la Constitution est prise par l'Assemblée nationale après le vote de la majorité de ses membres, par le Président ou la Présidente de la République en Conseil des ministres ou à la demande d'un nombre qui ne peut être inférieur à moins de 15% d'électeurs ou électrices inscrites au registre civil et électoral » et qu'elle est « transmise par l'Assemblée nationale … (qui approuve) … le projet de réforme constitutionnelle dans un délai supérieur à deux ans à partir de la date à laquelle elle est informée et la demande de réforme approuvée. » Enfin, « le projet de réforme est considéré approuvé après approbation des deux tiers des membres de l'Assemblée nationale».

    - Un texte « rejeté » ?

    Les auteurs et les signataires affirment que ce nouveau texte est « rejeté par la majorité des Vénézuéliens… ». Aucune enquête d'opinion au Venezuela ne permet de prononcer une telle sentence. Partagés, les sondages pronostiquent, pour la plupart, une victoire du « oui » au projet soumis par le président vénézuélien. Ceci dit, les sondages importent peu. En effet, contrairement aux dispositions existantes dans beaucoup de pays, au Venezuela, toute Constitution ou réforme constitutionnelle doit, in fine, être approuvée par une majorité de citoyens par référendum national.

    Les auteurs soulignent que ce « rejet » existe aussi « à l'intérieur même du camp du président ». Il est vrai que des avis divers s'expriment au sein de la mouvance bolivarienne. Cela prouve que le « camp du président » n'est pas un bloc monolithique et qu'une diversité de courants façonne le consensus bolivarien. Certains, pour des raisons différentes (question du statut des élus locaux et provinciaux et de leur articulation avec le gouvernement, du niveau des transferts de compétences, de la collecte et de la distribution de l'impôt, du niveau de socialisme -certains pensent que la notion est trop floue, d'autres que le projet ne va pas assez loin, d'autres encore que le mot ne devrait pas apparaître dans la Constitution - etc.) appellent à l'abstention, d'autres au « non », d'autres encore à un « oui critique ».

    - Vers la dictature ?

    Pour les auteurs, « ce nouveau texte constitutionnel propose la réélection indéfinie du président ». Le terme « réélection indéfinie », largement colporté par les médias internationaux, n'apparaît dans aucun article du texte. Ce concept n'existe pas dans le cadre de la réforme, même lorsqu'il s'agit de l'article relatif au mandat présidentiel. Controversé, celui-ci ne propose pas une « réélection indéfinie » mais revient, il est vrai, sur une disposition de la Constitution de 1999 prévoyant de limiter le mandat présidentiel à deux exercices maximum. Ainsi, l'article 230 stipule que « la période du mandat présidentiel est de 7 ans. Le président ou la présidente peut être réélu ou réélue ». Ni plus, ni moins. Cette proposition, si elle devenait réalité au lendemain du vote du 2 décembre, ferait du Venezuela un pays fonctionnant sur le même mode qu'une vingtaine de pays de l'Union européenne… à ceci près que la Constitution vénézuélienne, contrairement à l'ensemble des constitutions des pays européens, prévoit la possibilité de révoquer le président à mi-mandat (article 72).

    Le projet « entend supprimer tout contrôle des pouvoirs de l'État sur les actions de l'exécutif. Il constitue une véritable entorse aux principes fondamentaux de la démocratie et de l'État de droit. » Par rapport à la Constitution de 1999, la réforme ne propose aucune modification allant dans le sens d'une remise en cause du rapport entre l'exécutif et les autres pouvoirs. Par exemple, l'article 16 dresse la liste de plusieurs pouvoirs présidentiels soumis à l'accord du Parlement et l'article 73 définit les conditions permettant au Parlement de soumettre directement des projets de lois à référendum.

    Par ailleurs, tous les principes fondamentaux de la démocratie et de l'état de droit sont réaffirmés dans ce projet de réforme constitutionnelle. Il garanti le jeu de la démocratie représentative, du pluralisme des partis et des opinions, et de la compétition électorale (« tous les citoyens et citoyennes ont le droit de s'associer à des fins politiques » (article 67)).

    - Des consultations populaires malhonnêtes ?

    « La tenue d'un référendum ne garantira pas l'expression d'un suffrage impartial car, depuis des années déjà, le Conseil national électoral, instance chargée de superviser les processus électoraux au Venezuela, est placé sous la coupe du gouvernement et de ses partisans. Quant au vote électronique, instauré dans le pays depuis 2004, il se prête à toutes les manipulations. »

    Ces arguments, utilisés au Venezuela par la frange la plus radicale des opposants au processus bolivarien, ne résistent pas à l'épreuve des faits. Toutes les élections et consultations au Venezuela ont été jugées libres et honnêtes par tous les observateurs internationaux, qu'il s'agisse de ceux du Centre Carter (mondialement respecté pour ses actions en faveur des processus de démocratisation et de l'observation d'élections), de l'Organisation des Etats américains ou de l'Union européenne. Teodoro Petkoff lui même avait d'ailleurs critiqué ouvertement une partie de l'opposition lors des élections présidentielles de 2006 lorsqu'elle affirmait que le scrutin n'était pas valide. Quant à la fiabilité du vote électronique, l'étude statistique scientifique menée par les équipes du Centre Carter a prouvé que le procédé est incontestable.

    - Opportunisme humanitaire ?

    Les auteurs accusent le président vénézuélien d'avoir, « pendant des années, (…) ignoré le sort des Vénézuéliens otages des Farc et (de) ne (s'être) nullement soucié de leur famille. »

    Jusqu'à aujourd'hui, personne ne sait si des Vénézuéliens comptent effectivement parmi les otages des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc). En 2002, Hugo Chávez s'était pourtant préoccupé du sort de Richard Boulton, homme d'affaires vénézuélien, que tout le monde pensait otage de la guérilla colombienne. Il a même réussi, en juillet 2002, à organiser une opération de sauvetage qui a abouti à la libération de M.Boulton. C'est alors que les autorités ont découvert qu'il avait en réalité été repris aux paramilitaires des Autodéfenses unies de Colombie (AUC).

    - La question de la course aux armements

    Pour les auteurs, « le Président se livre à une course aux armements que rien ne justifie, mettant en péril la paix et la sécurité du pays et de la région, au lieu d'utiliser les ressources pétrolières pour un développement durable du pays et résoudre les graves problèmes économiques et sociaux du peuple vénézuélien. » De même, « le Président a créé une milice civile armée de plusieurs centaines de milliers d'hommes, dépassant en nombre les effectifs de la Force armée nationale, dans le but de contrôler la société vénézuélienne. »

    S'il est vrai que le gouvernement vénézuélien a récemment acheté 25 avions de chasse russe, c'est pour remplacer la flotte de F-16 qui n'était plus utilisable à cause de l'embargo d'équipements militaires imposé par les Etats-Unis. De même, 100 000 fusils d'assaut Kalachnikov ont bien été achetés pour remplacer un stock de vieux fusils belges périmés.

    Par ailleurs, la tradition d'intervention militaire des Etats-Unis dans la région et l'existence d'un « plan d'urgence » contre le Venezuela lancé en 2005 par l'administration Bush constituent deux facteurs qui peuvent expliquer la décision vénézuélienne.

    Cependant, il est difficile de parler de « course aux armements » quand on sait que le Chili et la Colombie ont dépensé bien plus que le Venezuela pour leur armement ces dernières années. Il faut aussi rappeler que le Venezuela du président Chávez dépense beaucoup moins pour son budget militaire que ce ne fut le cas avec les gouvernements précédents.

    Quant aux « graves problèmes économiques et sociaux du peuple vénézuélien », il convient de rappeler aux auteurs que les budgets consacrés aux dépenses sociales ont plus que doublé depuis 1998.

    Enfin, l'existence d'une « milice civile armée de plusieurs centaines de milliers d'hommes, dépassant en nombre les effectifs de la Force armée nationale » dont l'objectif serait de « contrôler la société vénézuélienne » ne répond à aucune observation objective. On se souvient aussi que parmi les rédacteurs, certains dévoilaient déjà aux yeux du monde l'existence de la quatrième armée du monde en Irak.

    - Le retour de l'idée socialiste au 21ème siècle, le vrai problème ?

    Dans leur conclusion, les auteurs affirment que « les Vénézuéliens ont vécu en démocratie depuis 1958 ». C'est formellement vrai, mais faut-il rappeler aux auteurs que deux partis politiques - Acción Democrática (AD) et Copei - se sont partagés sans relâche les rênes d'un pouvoir corrompu qui a appauvri la majorité de la population pendant 40 ans jusqu'à ce que la démission forcée du social-démocrate Carlos Andrés Pérez (AD) en 1993 amorce l'explosion du système politique du pays, ouvrant la voie à la reconstruction d'un espace public en 1998 ?

    Au fond, la crainte majeure des auteurs, dissimulée au milieu d'un texte truffé de contrevérités soigneusement élaborées, concerne le retour, par le Venezuela, de l'idée du socialisme au 21ème siècle.

    Ceci est un sujet de débat théorique et politique majeur, mais la prestation des auteurs montre que là n'était pas leur préoccupation.

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  5. H2 dit :

    Pour mémoire et pour la liberté d'un débat démocratique, je vous fait part de cette lettre d'un Cheminot aux usagers. Elle date de la semaine dernière.
    vous saurez la remettre dans le contexte d'alors.

    "COURRIER D UN CHEMINOT AUX USAGERS"

    "Chère cliente, cher client,

    Je suis en grève aujourd'hui et je l'assume. Oui, j'assume de devoir vous poser des problèmes dans votre train-train quotidien, j'assume de vous obliger à modifier vos habitudes quotidiennes.
    On m'accuse de vous prendre en otage. Mais vous ai-je enfermés, vous ai-je attachés ? Non, je vous laisse libres. Libres au milieu des contraintes que vous acceptez tous les jours sans vous en plaindre.
    J'assume pleinement de vous laisser voir vos chaînes, parce que ces chaînes sont aussi les miennes. Parce que moi aussi, je dois faire garder mes gamins quand je commence au petit matin, moi aussi, quand je rentre le soir, j'ouvre ma boite à factures qui naguère s'appelait boite aux lettres, moi aussi je m'affale parfois dans le canapé pour manger docilement la soupe de la télé, car moi aussi, je vis dans cette société. Oui, je l'assume. Comme j'assume les contraintes de mon métier qui me font vivre à part du groupe, qui me font travailler avant vous pour vous emmener bosser et après vous pour vous ramener à la maison.
    Pour vous emmener dans votre famille passer les fêtes, je ne les passerai pas dans la mienne. Je vous transporte et par définition, mon travail commence là où s'arrête le vôtre, et vice versa.

    Quand j'ai pris la décision de faire ce métier, il y a 15 ans, j'ai pesé le prix de ma mise à l'écart de la vie collective, par les horaires farfelus. Ce prix je l'ai accepté et j'entends me le faire payer.

    Bien sûr, je ne suis pas le plus mal loti de la terre. Bien sûr, il y a bien pire et bien plus malheureux. Mais doit-on se sentir coupable d'avoir un toit en voyant les sans-abri ? Doit-on se sentir coupable d'avoir un emploi en comptant les chômeurs ? Doit-on se sentir coupable de se défendre ?

    Ma défense, je l'ai préparée. Parce que les résultats des élections de mai ne laissaient aucun doute. Le conflit aurait lieu, historiquement il devait avoir lieu. Où et quand ? Vous avez la réponse aujourd'hui. Parce que, je ne vous le cache pas, Il était encore sur le yacht de Bolloré que je mettais de coté l'argent nécessaire à ce combat. S'il le faut celui prévu pour quelques projets futiles sera utilisé et tant pis si le home cinéma ne vient pas dans mon foyer cette année. Quoi, j'aurais pu me payer un home cinéma et je suis dans la rue ?

    Et bien ça aussi je l'assume. Et sans aucune honte depuis que j'ai lu que la marque qui commercialise le plus grand écran plasma, un joujou à cent mille euros, visait aussi le marché des particuliers en France. On me donne 2600 euros par mois pour conduire les trains, pas pour acheter mon silence et ma docilité.
    On trouve au MEDEF des syndicalistes bien mieux lotis ayant toujours une larme à faire couler sur leur sort. C'est aussi pour ça que j'assume de faire grève aujourd'hui.
    On m'accuse de ne pas faire preuve de solidarité parce que la réforme est nécessaire et doit être approuvée. A force de lire les rapports du Conseil d'Orientation des Retraites, à force de lire tout ce qui peut me tomber sous les yeux parlant de retraite, du sénat au blog débile, j'ai acquis la conviction que tous cela aurait pu être évité, pour moi comme pour vous, si nos dirigeants avaient préparé ces échéances comme j'ai préparé cette grève.
    On nous a parlé de catastrophe, de faillite, de banqueroute même or n'importe quel économiste honnête vous le dira, en 2000, l'effort prévisible à réaliser, sans rien changer pour les retraites, pour les 40 années à venir était calculé inférieur à celui fourni pendant les 40 années passées. On a montré que le petit bout de la lorgnette, on n'a pas dit que la richesse du pays augmenterait plus vite que cette charge, même dans les pires scénarii. Il y avait ce problème du baby boom ? Et alors, est-ce une raison pour tout mettre à bas alors qu'il suffisait de remplir le fond de réserve des retraites créé en 2002, la seule véritable réforme honnête faite sur le sujet ? Que fait un ménage quand il sait qu'une dépense va venir ? Soit il économise, soit il emprunte, soit il attend et se serre la ceinture le moment venu. C'est cette voie qu'ont choisie nos dirigeants, c'est regrettable mais je suis citoyen et je respecte les suffrages.
    Alors cette politique qui n'est pas la mienne, je l'assume y compris les conséquences, y compris cette grève. Aujourd'hui, je refuse de faire mon travail dans la société parce que j'ai un différent à régler avec cette société. J'utilise un moyen légal, constitutionnel, occasionnant une gêne que j'assume pleinement parce que je suis dans une entreprise qui fait des bénéfices et qui, seule, paye les avantages de mon régime de retraite. Une cotisation patronale supérieure de près de 12% à celle de votre patron, soit environ 500 millions, pour compenser un âge de départ inférieur au vôtre, dans des conditions souvent inférieures aux vôtres d'ailleurs. Le reste ? C'est ce que nous payerions ensemble si nous étions dans le même régime. D'ailleurs la compensation entre régimes bénéficie à 93.7% aux artisans, commerçants, salariés et exploitants agricoles, et en 2015, mon régime ne sera plus bénéficiaire du système mais deviendra contributeur. Ces 12% sont à moi, pas à mon entreprise qui voudrait bien les récupérer. Comme les cotisations patronales, que les patrons appellent volontiers "charges", sont à vous, payant par avance votre droit à la santé ou à la retraite. C'est parce que la seule personne volée dans cette réforme c'est moi, j'assume totalement de réclamer mon dû. On me dit que ce sont finalement les clients qui payent. L'a-t-on dit aussi fort aux clients de Carrefour qui on payé les conditions de fin d'emploi du patron d'alors ? Le dit-on aussi fort de toutes ces retraites chapeaux, primes de départs et autres joyeusetés faites aux dirigeants des grandes entreprises ?
    Le dit-on aussi fort des avantages d'autres salariés ? A ce dernier titre, il est bon de calculer que 5 années de bonus sur une carrière de 40 ans ne représentent finalement guère plus qu'un mois et demi par ans. Je n'ai jamais eu de treizième mois, l'avantage est-il si exorbitant ?
    Alors j'assume ne pas vouloir perdre ces 12% dans cette réforme qui ne vous apportera rien. Le gain escompté est de l'ordre de 200 millions d'euros par ans.
    A ce rythme, il faudra 75 ans pour rembourser les 15 milliards de cadeaux fiscaux faits cet été Suis-je encore LE privilégié de cette société ?
    Mais plus encore. Cette réforme, comme les précédentes, vous coûtera beaucoup, elle nous coûtera beaucoup à tous. Parce que c'est la solidarité que l'on tue aujourd'hui. Cette solidarité voulue par nos pères au lendemain de la guerre, cette solidarité insupportable pour qui se réclame du libéralisme et du chacun pour soi. Cette solidarité dont le sens profond ne dépasse pas, pour notre gouvernement, la notion de l'aumône dominicale. Mais pour moi elle a un sens, parce qu'elle est profondément humaine. C'est elle, le ciment de notre société.
    A quoi bon vivre comme les loups où le couple dominant mange en premier et où le dernier mange ce qui reste ? Tous mangent, certes, mais est-ce le modèle que nous voulons pour notre société ? Est-ce l'exemple pour nos enfants ? Ma conviction profonde est que la société humaine ne peut être basée que sur la solidarité, sur l'entraide mutuelle. C'est ce à quoi je crois et c'est pour cela que j'assume ce combat.

    Et je me souviens de 1995. Vous étiez derrière nous à 75% ! Autre époque où nous portions l'espoir, où l'on a vu des personnes venir apporter une journée de salaire dans notre caisse de grève en nous demandant de faire la grève pour eux. La grève ce n'est pas mon métier. J'assume d'avoir laissé tomber cet espoir faute de pouvoir le porter seul. J'assume aujourd'hui de me battre d'abord pour moi, règle première de cette société libérale que je veux combattre.
    C'est paradoxal ? Oui, mais j'assume ce paradoxe parce que vous ne m'aimez plus aujourd'hui et que cette désaffection est le fruit d'un combat que vous n'avez pas voulu mener, croyant à tort que je le ferais pour vous. Nos père se sont battus, certains sont morts, pour nos congés, nos retraites, notre santé et pour bien d'autres choses encore. Qui se souvient aujourd'hui du prix payé par eux pour nos avantages de salariés de pays riche ?

    Certains perdront leur boulot paraît-il. Mais qui est assez stupide pour m'accuser moi et laisser en paix cette crevure de directeur du personnel qui utilisera cyniquement cet alibi, ce sous-homme incapable de considérer son prochain comme son égal dans la difficulté ? Et bien, oui, j'assume de fournir cet alibi fallacieux à cette personne qui ne devrait rien avoir à
    faire dans la société des hommes.

    Il n'y a pas si longtemps, nous, cheminots, avions un slogan plein d'avenir, nous voulions partager le progrès pour tous. Souvenez-vous : Le progrès ne vaut... Où est-il ce progrès, aujourd'hui où l'Homme de ce siècle a enfermé sa liberté dans une télé et un portable ? Où l'on vante les soi-disant mérites du libéralisme sans parler de ses inconvénients comme la précarité ? Où l'on détruit l'avenir de nos enfants en oubliant les combats de nos pères ? Où l'on brade notre société solidaire pour peu qu'on nous fiche la paix ? Où est-il le progrès aujourd'hui ?
    J'assume. "

  6. Pierre L dit :

    Zézèyeur Obscurantiste Rabacheur Bigrement Abrutissant :

    Z.O.R.B.A™

  7. Zorba dit :

    J'admire natleval dans sa défense bec et ongle de la révolution bolivarienne. Après tout, si ça marche... Mais je souffre par avance pour elle si un jour cette "belle révolution" dérape.
    L'avenir nous éclairera.

    Merci à H2 pour ce beau texte du cheminot. Cet employé de la SNCF, outre un indéniable talent de plume, ASSUME ses contradictions. Malgré ses nombreuses contrevérités quant au véritables coûts des RS et notamment celui de la SNCF, il exprime avec ses tripes et avec une belle lucidité historique l'échec programmé de sa démarche. Bref; joli texte dont je ne partage pas le "message" mais dont je respecte l'authenticité.
    Un seul repporche, sa conception très "servie public" de la solidarité... (quid des plus modestes qui sont vraiment dans la mouise ?...).

  8. Pierre L dit :

    "quid des plus modestes qui sont vraiment dans la mouise ?…"

    Le gouvernement SarKKKoSy les a de-exonere de la redevance tv.

  9. jean-philippe ALLIERES dit :

    Bonjour,
    J'ai juste une question qui me hante à chaque fois que je vous vois ou vous entends...
    Pourquoi restez vous au PS?

  10. Zorba dit :

    Pauvre Idiot Expiant (sa) Réthorique Rachitique Epuisée. Lamentable ! =

    Pierre L

  11. Zorba dit :

    Prière (d') Indiquer (à cet) Esprit Rabougri (la) Règle Essentielle : (la) Liberté ! =

    Pierre L

  12. H2 dit :

    La "liberté" en marche :

    Je viens d'entendre à la radio (France Culture) que tout étranger malade du Sida est interdit de territoire dans 11 Etats américains.

    Libres de vous rejeter sous prétexte que vous êtes sidéen.
    Se renseigner avant de partir !
    Que n'aurions-nous pas entendu si celà s'était passé au Vénézuéla !

    Gérard Slama va encore venir nous rabacher "son Tocqueville " et légitimer l'inlégitimable !
    Qu'en dira le phare de la nation notre André Glucksmann adoré, signataire du PNAC ?
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Project_for_the_New_American_Century

    Et Bernard Henry Levy sera t-il en reste ? Ira t-il dénonçé avec une mèche agitée et le regard noir cette grâve atteinte aux droits de l'Homme sur toute les antennes radio-TV de France et d'Europe ?

    Alain Finkielkraut parlera t-il de la Sénile Amérique comme il vient de le faire en injuriant les grévistes en France ?

    L'Europe mimétique qui se construit s'inspirera t-elle des loix américaines nouvellement votées ?
    Saurons-nous resister à la connerie idéologique envahissante ?

  13. Pierre L dit :

    Zélateur Obstinemment Réactionnaire Bien Alièné :

    Z.O.R.B.A™

    Je suis plus fort que vous Zorba le Grece, je fais ça sans parenthese et avec
    un joli ™ à la fin, nanana trlalalalère.

  14. Zorba dit :

    On a les satisfactions qu'on peut mon petit pierrot !

    Bravo à toi ! Vive pierrot et son glorieux triomphe !

  15. AJS dit :

    Concernant le TCE allez voir le site http://www.29mai.eu
    Pour un recourt au près de la CECJ en parallèle de(s) pétition(s) en cours.

  16. Pierre L dit :

    Merci Zorba.

    Pas de réponse au commentaire 108 ?

  17. Instit dit :

    « Reste le cas particulier du Danemark où la Constitution stipule que le peuple doit être consulté par référendum lorsqu’un traité prévoit des transferts de souveraineté. C’est le cas, mais le gouvernement danois refuse d’organiser cette consultation. Selon toute vraisemblance, il joue la montre car il sait parfaitement qu’il y sera contraint par la Cour constitutionnelle danoise. Ce qui compte, c’est d’éviter le débat ou de le repousser jusqu’au dernier instant. Cette peur panique du débat est parfaitement justifiée. Un peu partout en Europe, en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, au Danemark, et jusqu’au Portugal, des voix s’élèvent pour demander une consultation populaire. »

    Comme pour l’Irlande, nous devrons surveiller ce qui va se passer au Danemark : si un référendum est organisé et si les Danois votent NON, le traité de Lisbonne est mort et enterré.

  18. Zorba dit :

    Pierre L, merci de tant de sollicitude... Ah, si je n'existais pas, vous devriez m'inventer !

    Commentaire 108 dis-tu ?

    Je dis "les gens réellement dans la mouise" et toi tu dis "SarkoZy supprime l'exonération de la redevance TV à - certaines - personnes agées (peu en bénéficiait).

    Bon, c'est pas bien. C'est vilain. C'est pas solidaire.
    Voilà une illustration de la politique de casse sociale de ce gouvernement réactionnaire. Voilà une remise en cause ignoble de notre modèle social. C'est bien connu, toutes les dictatures ont débutées en supprimant l'exonération de la redevance TV !

    Soyons sérieux.

    Si tu souhaites des réponses, participes au débat de façon sérieuse.

  19. Pierre L dit :

    Vous n'avez pas compris Zorba. Je ne souhaite pas débattre avec vous.Je ne
    discute pas avec l'ennemi de classe. Par contre j'adore me moquer de vous.

    Et le temps que vous passez à repondre à mes anneries vous ne le passez
    pas à polluer les discussions serieuses.

    Fine tactique, isn't it ?

  20. Zorba dit :

    Comme vous êtes drôle mon petit pierrot.

    Puisque ces événements vous dépassent, feignez d'en être l'organisateur...

    Mais votre tactique à deux balles que vous improvisez de façon risible et pitoyable a du bon en effet : elle m'épargne un débat avec un esprit borné et simplet comme le votre.

    Quel bonheur, quelle sérénité, quel sentiment de plénitude, d'aboutissement, de quiétude, de calme, que d'être traité d'ennemi par un aigri dangereux tel que toi.
    Oui nous sommes ennemis. Youpi !

    Jusqu'à nouvel ordre, tes idées liberticides et réactionnaires (oui, oui) représentent entre 5 et 10 % des suffrages, donc je te laisse jouer dans ton bac à sable avec tes hochets idéologiques. Tu n'es pas dangereux, tu ne représente rien. Tu n'es rien. Ouf !

  21. 4 Août dit :

    "C’est bien connu, toutes les dictatures ont débutées en supprimant l’exonération de la redevance TV !"

    Zorba, t'es à fond là ?

  22. Pierre L dit :

    Tactique à deux balles mais très efficace !

  23. Zorba dit :

    Tu trouves ? arf !

  24. Zorba dit :

    Cher 4 août, c'est pas moi qui le dit, c'est ce pauvre pierrot. Vas l'aider.

  25. Zorba dit :

    Je vous libère pour ce soir, les aigris !

    J'ai mieux à faire qu'à passer a soirée à recadrer vos délires.

    De doux bras m'attendent !

    Mais je serais là demain, ou lundi.

    Ne criez surtout pas victoire, d'ailleurs vous ne connaissez que la défaite.

  26. Pierre L dit :

    Zorba commentaire 121 :

    "un aigri dangereux tel que toi."

    Zorba commentaire 121 :

    "Tu n’es pas dangereux, tu ne représente rien"

  27. 4 Août dit :

    Zorba, quoi....

  28. Pierre L dit :

    4 Aout commentaire 122 :

    “C’est bien connu, toutes les dictatures ont débutées en supprimant l’exonération de la redevance TV !”

    Zorba, t’es à fond là ?

    Réponse de Zorba commentaire 125 :

    "Cher 4 août, c’est pas moi qui le dit, c’est ce pauvre pierrot. Vas l’aider."

    Et où donc ai-je-dis ça ? Nulle part.

    ZORBA LE MENTEUR.

  29. 4 Août dit :

    "Je vous libère pour ce soir, les aigris !

    J’ai mieux à faire qu’à passer a soirée à recadrer vos délires.

    De doux bras m’attendent !"

    Vu le temps que tu passes à fustiger ce forum que tu détestes, tu risques le divorse, c'est sur! Sauf si t'as "mieux à faire pour ce soir", évidemment!

  30. 4 Août dit :

    Au fait, c'est sympa de nous "libérer", on se sentait presque sous ton joug (vraiment très presque....). Bonne nuit avec tes doux bras qui te supportent.

  31. Belgo3.0 dit :

    Monsieur le Sénateur,
    cher Camarade,

    ne pourrait-on (ne pourriez vous...) pas faire une note sur la "Rénovation du PS"
    par les bourgeois "socios" "démocrates" (au sens espagnol) de Hollande ?

    Ca serait bien de parler de Vallini, très grand démocrate fédéral je crois...

    Merci,
    le Belge

  32. Bombatus dit :

    Bizarre bizarre, de la part d'un individu pourfandant à longueur de journée et de nuit,sur différents sites (dont Wikipédia d'où il est exclu à vie pour ses diverses calomnies), le Rotary et la Franc-maçonnerie, faire référence à André Vallini...

  33. Bombastus dit :

    Entre partisans du " Traité bis " et ceux qui souhaitent au préalable un référendum sur cette question, il n'y a en fait qu'une approche différente des notions de la démocratie.
    Mais il faut admettre qu'au sein du parti socialiste, rares sont les " grosses pointures " qui souhaitent la tenue d'un référendum. N'oublions pas non plus qu'un nombre substanciel d'électeurs frontistes qui avaient massivement voté contre en 2005 sont maintenant rangés derrière le Président de la République.
    Il est évident que la tenue de ce référendum restera une utopie, occupant certains esprits pour un laps de temps.

  34. daniel toulon dit :

    référendum oui mais combat perdu d'avance.Combien "d'otages" de la SNCF,qui ont dit non en 2005 se mobiliseront pour ce référendum:o,o1%.Les signataires responsables dans des associations ou partis politique,seraient lus convaincant s'ils se rassemblaient dans un parti polique,qui seul sera capable de se faire entendre.La seule chose que SARKO et ses soutien direct ou indirect comme le PS,craignent est l'émergence de ce parti qui pourrait rassembler tous les français qui en ont marre d'etre pris pour des veaux.

  35. Robert dit :

    @ H2 au sujet de ton post 101

    Si Dutreil a bien tenu ces propos (peux-tu préciser tes sources ?), cela ne ferait que confirmer l'état d'esprit qui domine à l'UMP : je pense que sans tomber dans l'outrance on peut appeler ça du vandalisme. Cela s'apparente tout à fait aux agissements de certains petits groupes d'adolescents issus des banlieues pauvres.

    Cela confirme aussi la stratégie mise en œuvre par cette droite : mettre en "faillite" l'Etat, la Sécu, les Services publics (y compris la Police et Défense nationale), de manière délibérée, puis se servir de cette situation sciemment provoquée pour en tirer des pseudo-arguments en faveur d'une politique anarcho-financière de privatisation généralisée : "vous voyez bien, ça ne marche pas, il faut s'adapter à la mondialisation, il faut être réaliste, etc…"

    Eh ouais, les cailleras, c'est vrai que l'exemple vient d'en haut… De la France d'en haut, quoi.

  36. ZorbaBis dit :

    Puisque je suis censuré avec mon identité habituelle, je tente un contournement (via un autre ordi) pour apporter ma réponse aux aigris d'hier soir.
    Les coeurs purs qui interviennent sur ce blog doivent donc savoir que la censure existe belle et bien ici.
    J'espère que ma réponse pourra au moins être lue par quelques uns d'entre vous avant d'être à nouveau censurée. Au moins, il ne sera pas que je me couche davant ces kapos gauchistes
    Vous conprendrez enfin que dans un tel contexte, il me sera difficile d'apporter la contradiction sur ce site avec la même régularité.
    Liberté, où est la victoire ?

    J'adresse un salut respectueux à ceux qui défendent leurs idées avec honneteté et objectivié (H2 par ex.).
    J'adresse un bras d'honneur à ceux qui en me censurant ont signés leur défaite.

    Voici ce qu'était ma réponse :
    Bonjour les aigris !

    Après une douce nuit réparatrice et de bons croissants au beurre, me voilà d’attaque pour répondre à vos médiocres délires.
    Je devrais assurément vous traiter par le mépris, par l’ignorance, mais je dois assumer dans mon tempérament un soucis de précision, d’honnêteté et d’esprit batailleur qui me pousse à vous moucher aussi souvent que nécessaire. C’est de plus d’une telle facilité que j’aurais bien tort de m’en priver.

    Débutons par la note n° 127 de Pierre L. Il fait référence dans cet envoi à ma propre note n° 121 dans laquelle il semble pointer une incohérence puisqu’à quelques lignes d’écart il me reproche de le traiter d’ « aigri dangereux » puis de lui dire « Tu n’es pas dangereux ». Un tel rapprochement semblerait donner raison à ce brave Pierre L. Tel n’est pas le cas malheureusement pour lui. En effet, s’il avait été capable d’une lecture un peu plus attentive de ma note n° 121, il aurait pu noter aisément que le « dangereux aigri » s’adressait à sa (pauvre) personne, tandis que le « Tu n’es pas dangereux » faisait référence au faible poids électoral de son idéologie liberticide.
    Il n’y a pas la moindre incohérence à mettre en évidence la dangerosité mentale et morale avérée d’un Pierre L et à rappeler quelques après que l’idéologie totalitaire dont il s’inspire est elle – et heureusement !, sinon que deviendrais-je ? Un déporté au Goulag ? - pas dangereuse d’un point de vue électoral compte tenu qu’elle ne gangrène que peu d’esprits dans notre vieux et beau pays. Encore faudrait-il à Pierre L pour comprendre ce double degré d’analyse que son cerveau agité intègre et valide la notion de « poids électoral ». C’est rarement le cas chez les révolutionnaires d’opérettes.

    Point suivant.
    « 4 Août » dans sa note n° 122 puis Pierre L (encore lui) dans sa note n° 129 me reprochent d’évoquer de façon ridicule la suppression de l’exonération de la redevance TV comme stigmate avant coureur d’une dictature ! Tu as raison « 4 Août », de tels propos sont ridicules ; encore faudrait il pour que vous puissiez valablement me les reprocher que j’en soit l’initiateur… C’est là encore une erreur tragique et une amnésie troublante de la part de ce Pierre L qui donne vraiment l’impression de perdre les pédales… Il me traite de menteur dans sa note n° 129, il affirme même : « Et ou donc ai-je dis ça ? Nulle part ». Là c’est grave, Docteur…
    Je vous invite à vous reporter à la note n° 108 rédigée – vous vous en doutez – par l’inévitable Pierre L. Que dit-elle cette note ? Allez voir ! C’est même Pierre L qui invente ce verbe hideux de « de-exonérer » (sic !) au sujet de la redevance TV.
    Or, sa réponse de naufragé de la pensée fait bien référence à mes propos de ma note n° 107 (donc juste avant la réponse ridicule de Pierre L ; il n’a même pas l’excuse de s’être mélangé les pinceaux !). Il utilise (Lui ! Pas moi !) cette histoire de « dé-exonération » (beurk !) de la redevance TV par « Le gouvernement SarKKKoSy » (je cite toujours, vous vous en doutez !) pour répondre à mon interpellation de ma note 107 au sujet « des plus modestes qui sont vraiment dans la mouise » (c’est de dont je parlais).
    Vous voyez bien que je ne suis pas l’auteur, ni l’initiateur de ce rapprochement ridicule et blessant en effet. J’ai parlé de « dictature » pour bien pointer du doigt et moquer le ridicule de la réponse de Pierre L dans sa note 108.

    Reste à présent le cas délicat de Mister Cyril. C’est un cas délicat à traiter en effet car il semble plus relever de la médecine psychiatrique que du débat – fut il vif – sur un blog.
    J’invite d’abord celles et ceux (fort peu nombreux j’imagine !) que ça pourrait intéresser à remonter le fil de mes échanges avec Mister Cyril pour bien noter que je n’ai jamais été à l’origine de ces propos orduriés et d’un bassesse attristante.
    Cyril, du haut de ses « 40 balais » semble avoir un réel problème avec « la chose ». Je laissais déjà dans une note précédente le soin à des observateurs plus compétents que moi dans ce domaine de tenter d’identifier l’origine du problème de Cyril. Je relance l’appel. Mais vous noterez que dès que j’évoque « de doux bras », lui s’enflamme sur « la veuve poignet », doute de la réalité de ma situation matrimoniale et évoque avec une véhémence pitoyable sa « vraie femme » (ça nous passionne tous, n’est-ce pas ?!…).
    Vraiment, Cyril, faut te calmer. Ne te ridiculises pas ainsi. Essayes au moins de te respecter un peu, de ne pas te donner en spectacle de la sorte, tel un bonobo désoeuvré… Souhaites-tu en arriver à te voir lancer des cacahuètes ? Non, alors mon petit, fais toi plus discret.
    Il me trouve « pa-thé- ti-que ». Avis d’Expert qui ne manque pas de me rassurer grandement…
    Et puis au moins, ce qu’il y a de réjouissant dans le fatras délirant de ses envois, c’est que puisqu’il est marié, au moins il est cocu ! C’est d’une telle évidence ! Voilà peut être l’explication de ses obsessions lamentables.

    Un dernier mot à l’attention du débris Cyril, puisqu’il semble s’inquiéter du temps que je consacre à ce blog, la rédaction de cette réponse m’a « coûté » 21, non 22 minutes. Pas une de plus. Et ce sera tout pour aujourd’hui dimanche. Merci de le noter.

    Pour conclure Messieurs, sachez que vous faites vraiment triste impression. Cette façon malsaine de vous liguer contre moi… Je ne m’en plains pas remarquez, ça me fait plutôt sourire, mais pour vous… Quelle bassesse… Vous donnez l’impression d’être dans le même état d’esprit que les soldats déboussolés de la division Das Reich à l’approche du village d’Oradour… Ivres de haine, ivres d’inquiétude, vous avez besoin de vous liguer, de vous réunir en (petite) meute pour « vous payer » une victime expiatoire.
    Ce ne sera pas moi.
    (H2 et natleval ne sont pas concernés par le paragraphe ci-dessus ; je ne partage pas leurs idées mais je respecte la qualité de leur argumentation).

    Vous semblez rêver de guerre civile… Par tempérament, je ne suis pas loin de partager cette attente… Encore faudrait-il que vous représentiez quelque chose.

    À bon entendeur…

  37. Robert dit :

    Au fait, je citais dans mon post 83 un article du dernier Diplo ; je voulais aussi vous recommander un autre papier dans le même numéro : celui de Moshe Lewin intitulé "Octobre 1917 à l'épreuve de l'histoire". Je n'ai pas les connaissances nécéssaires pour juger définitivement de sa pertinence, mais cela mérite d'être lu. Et bien sûr, il y avait dans ce Diplo l'excellent article de Serge Halimi consacré à BHL… (déjà cité par un contributeur de ce blog). Savoureux, de chez savoureux !

  38. Pierre L dit :

    ZORBA(BIS) LE MENTEUR
    (voir commentaire 129 puis 137)

  39. Pierre L dit :

    Pour etre plus précis :

    Zorba commentaire 118 :
    C’est bien connu, toutes les dictatures ont débutées en supprimant l’exonération de la redevance TV !

    4 aout commentaire 122 :
    “C’est bien connu, toutes les dictatures ont débutées en supprimant l’exonération de la redevance TV !”

    Zorba, t’es à fond là ?

    zorba commentaire 125 :
    Cher 4 août, c’est pas moi qui le dit, c’est ce pauvre pierrot. Vas l’aider.

    commentaire de ce pauvre pierrot;
    ZORBA LE MENTEUR

  40. Belgo3.0 dit :

    On a deux menteurs ici :
    Zorba et Sanglier (alias Bombastus, sa dernière imposture).

    Ces crétins ont peur de nous, tout simplement.
    Il suffit que nous gardions nos fondamentaux,
    et nous allons les renvoyer aux poubelles de l'Histoire,
    eux et leur marionnette de Neuilly...

    le Belge

  41. carlo dit :

    "« Tu n’es pas dangereux » faisait référence au faible poids électoral de son idéologie liberticide". Si Zorba jugeait l'influence de la gauche de gauche sur l'opinion aussi réduite qu'il le dit, il ne consacrerait pas autant de temps et d'energie à polémiquer sur le blog de J.L Mélenchon.

  42. 4 Août dit :

    "Ivres de haine, ivres d’inquiétude, vous avez besoin de vous liguer, de vous réunir en (petite) meute pour « vous payer » une victime expiatoire.
    Ce ne sera pas moi."

    Et voilà qu'il inverse les rôles....

  43. ZorbaBis dit :

    Pierre L, ta stratégie de "raconter des anneries" (selon ta propre note n° 119) marche à merveille ! Tu n'arrêtes pas en effet ! Tu te spécialises même dans l'annerie, Pierre L, Maître es-annerie !
    Tes histoires de redevances et de dictatures sont tellement nulles qu'elles te déservent mon petit bonhomme. Cesses donc de te ridiculiser de la sorte.

    @ Le Belge

    Deja je suis seul et n'ai rien à voir avec les autres pseudo que tu évoques selon ta paranoïa habituelle, donc tu peux dire "ce crétin" au lieu de "ces crétins"...

    Peur de vous ? C'est la meilleure, pauvre petite chose.
    Déja de ton côté pourquoi dis-tu "peur de nous" ? Tu te crois accompagné ? Par qui ?
    Pour avoir peur, il faudrait que vous (ou plutôt que TU) représente une menace... Or, veux tu bien me dire mon petit belge aigri quelle menace concrète tu représentes ? Dis moi, expliques moi, fais moi un dessin, chantes le moi si tu veux... C'est dur hein ? Forcément, rien, c'est rien.
    Donc surtout, gardes bien des fondamentaux, ne change surtout rien à ta brillante stratégie... et restes dans tes rêves. Ca semble te faire plaisir et ça n'a r i g o u r e u s e m e n t aucun impact politique effectif. Donc moi, ça m'arrange si tu continus.
    Quant aux poubelles de l'histoire, tu devrais savoir mon poussin qu'elles sont nettement plus remplies par des coco intolérants comme toi qui ont TOUT raté au cours du 20ème siècle, que par de braves républicains comme moi qui essayent de s'impliquer constructivement dans la vie de la cité.

    Par contre si par je ne sais quelle révolution mystérieuse ou magique vous vous retrouviez au pouvoir, alors là oui, tu as raison, cent fois raison, mille fois raison, j'aurais une sacrée trouille, une immense peur, un terrible frisson de vous voir anéantir les libertés publiques et individuelles.
    C'est toujours ainsi que les choses se sont passées à travers l'histoire lorsque les cocos intolérants ont tutoyés le pouvoir, mais sans même évoquer l'histoire et ses évidences, il suffit d'observer ton comportement sur ce blog pour voir à quel point tu ne supportes pas une expression différente de la tienne.

    Voilà mon petit belge ce que je voulais tenter de t'expliquer.

    Tu ne me fais pas peur, pas peur du tout. Tu me fais pitié.

    Maintenant, si ça peut te soulager, c'est quand tu veux, ou tu veux, comme tu veux. À un contre un bien entendu. Je serais ravi de te rosser, de te corriger, de t'emplatrer, bref, de t'apprendre la politesse. Des roquets de ton espèce, j'en mange quatre au petit déjeuner.

    Le mieux que tu ais à faire pour ne pas agraver ton cas est de m'oublier. D'accord ?

  44. ZorbaBis dit :

    Carlo a parfaitement raison dans sa note 142 de juger que je consacre bien trop de temps à des "riens politiques". C'est un fait.
    Je m'en expliquais sincèrement et modestement dans ma note 137 en évoquant les excès de mon esprit batailleur.
    Donc j'assume ce tempérement un peu "chaud".
    Mais encore une fois, Carlo à raison, certains aigris de ce blog ne méritent pas un mot, ni même un rot, pas même un pet.

  45. 4 Août dit :

    Du "Zorba" pur jus au post 69:

    1. Il fait l'amalgame:
    "Ce n’est pas parce que vos inclinations politiques profondes remplissent vos mains de sang..."

    2. Suivi à la ligne suivante de:
    "Cette façon de reprocher à vos contradicteurs des maux auxquels ils ne sont en aucune manière associé est une constante “rouge” qui m’a toujours débectée."

  46. ZorbaBis dit :

    Et oui " 4 Août "... tu fais du coco pur jus dans ton post ci-dessus n° 146.

    Il n'y a aucune contradiction dans mes deux propos. Pour que tu en conviennes, il faudrait bien entendu que tu abordes l'histoire avec objectivité. Dur dur...

    J'ai donc l'honneur et l'avantage de t'annoncer que tu vas bénéficier de la "jurisprudence Carlo" (post n° 142) et que tu n'auras droit dorénavant qu'à mon silence. Non pas que te porter contradiction me coûte, la preuve, c'est même plutot amusant et facile, tant tes vomis idéologiques sont aisés à contredire ; non, c'est plutot l'expression d'une certaine lassitude de ma part à échanger avec des cocos aigris. Oh, certes, il m'en coutera probablement pas moment de lire vos délires, vos vilénies, vos mensonges sans pouvoir vous corriger, rétablir simplement la vérité, mais bon, je vais faire cet effort.

    Je te laisse à ta médiocrité aigrie.

  47. carlo dit :

    La stérilité des échanges avec Zorba, sa grande maîtrise de la rhétorique, le nombre et la longueur de ses commentaires, le temps qu'il juge utile de consacrer à de vaines polémiques avec les uns et les autres ainsi que le soin qu'il y met donnent le sentiment qu'il est en service commandé.

  48. Belgo3.0 dit :

    Salut Zorbabis,
    je t'attends à Lille. Maile-moi donc, et on se verra dans un endroit calme.
    Pour une seule raison : vous les bourgeois ne comprenez que la force.

    le Belge

  49. ZorbaBis dit :

    Salut mon petit belge frustré,

    Tu es à Lille, moi je suis en Provence. Comment fait-on ? Je n'ai quand même pas l'intention de faire des centaines de kilomètres pour le simple plaisir (ô combien réel cependant) de te voir à terre, implorer ma clémence.

    Vous les cocos liberticides ne comprenez que la force.

    Quand tu veux petit frustré.


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