09juin 10

Jean Luc Mélenchon invité de l’amphi de France Info

Ce billet a été lu 6  275 fois.

Mardi 8 juin, Jean Luc Mélenchon était l'invité de l'amphi de France Info aux Beaux-Arts de Paris. Il y a débattu avec trois étudiants des relations entre l'Afrique et la France, de la reconstruction à Haïti et de la situation de la culture en France.

Cette vidéo a été consultée 6 278 fois


21 commentaires à “Jean Luc Mélenchon invité de l’amphi de France Info”
» Flux RSS des commentaires de cet article
  1. Alexandria dit :

    Passionnant, Jean-Luc, en particulier sur la culture (0:25 jusquà la fin).

  2. AJS dit :

    Ce que cela fait du bien à mon cerveau de vous écouter ! OUI, milles fois OUI, je veux de ce programme et de ces idées là.
    Le problème apparaît quand cela s'arrête ; je me demande toujours mais alors quand es-ce que l'on commence a mettre ce programme là en route ? Et là, je balance entre colère ou déprim...

  3. ab1818 dit :

    Bonjour,
    Loin de moi d'être un béni-oui-oui de service, mais encore une fois, je trouve M. Jean Luc Mélenchon vraiment «scotchant» dans l’exposé de ses propos personnels et argumentations. Le fond, la forme, l’Homme est bien là. Serait-ce enfin cette lumière qui pointerait au bout du tunnel actuel ?..
    Merci encore Monsieur,
    ainsi qu'aux jeunes participants et techniciens, techniciennes de l'émission.
    P.F

  4. Valero N. dit :

    Monsieur Mélenchon, votre discours est intelligent et raisonné. L'approche de la Culture, tant pas son soutien à la création à travers les "coopératives culturelles", que par son soutien à son accessibilité par le public (exemple de l'effort pour l'accès aux bibliothèques) nécessite d'être souligné. Même si le discours se puise parfois dans une vieille tradition socialiste française, il reste d'une grande actualité. Merci pour cette bouffée d'air.

  5. klai dit :

    Bonjour

    Je suis guitariste professionnel et professeur de guitare dans plusieurs écoles de l'agglomération de Grenoble dont une municipale (à Seyssinet) j'ai été embauché en CDD de 9 mois par la ville l'année dernière et je viens d'apprendre par mon directeur que mon contrat ne sera pas reconduit car le maire XXXXXX (divers droite) a décidé qu'il n'y aurait plus aucun contrat reconduit afin de ne payer les profs 9 mois au lieu de 12. Ainsi les élèves auront un prof différent chaque année et ils n'auront aucun suivi, l'objectif étant à terme de les décourager et de supprimer les cours et les profs jusqu'au jour où ils fermeront l'école. Il fait cela car il s'est engagé auprès de ses électeurs à réduire les impôts locaux.

    Il a aussi décidé de supprimer tous les contrats d'intervenants en milieux scolaires, des personnes qui comme en parlait JL Mélenchon on pour mission de faire découvrir la musique aux enfants dans les écoles.

    Voilà le projet de notre société : payer moins d'impôts pour avoir des enfants qui écoutent la starac et qui mangent au mc do.

    Je suis entièrement d'accord avec Mr Mélenchon l'éducation est un thème majeur dans notre société. Merci pour vos interventions, vos idées me donnent de l'espoir à une heure où il est très difficile d'en avoir.

    Riad

    [Edit Webmestre : La citation du nom du maire est inutile et imprudente car il n'est probablement pas le seul responsable de cette décision. Je l'ai retiré.]

  6. Eveilleur dit :

    Mr Mélenchon

    Pour prolonger votre intervention concernant l'importance de la culture dans la société, je vous invite à
    regarder vers un pays que vous connaissez bien je crois (le Venezuela) avec son système d'éducation musicale et sociale à grande échelle, remarquable tant par le nombre que la qualité (l'orchestre des jeunes du Venezuela est un des meilleurs au monde et des solistes de grande qualité sont sortis des ses rangs)

    http://es.wikipedia.org/wiki/Fundaci%C3%B3n_del_Estado_para_el_Sistema_Nacional_de_las_Orquestas_Juveniles_e_Infantiles_de_Venezuela

  7. aldo dit :

    Quel plaisir d'entendre un Homme Politique parler ainsi !

    Musicien créateur depuis bien longtemps, dans ce régime'intermittent du spectacle'(déjà ce terme ne me satisfait pas vraiment) ou une majorité de gens, n'ayant rien à voir avec la création, sévissent dans le "copier- coller " sur une scène ; mangent la soupe des créateurs, au point qu'un jour, un serveur intermittent du spectacle dans une soirée prestigieuse s'étonnait que nous soyons nous aussi "intermittents "; je vois l'argent distribué de façon anachronique et je rêve d'une autre façon de gérer tout cela !

    il y a à réfléchir sur le sujet, et de vous entendre parler vrai monsieur Mélanchon, me donne de l'espoir, je commence à parler autour de moi, et espère un réveil généreux, et général...

    dans quelques semaines, je ne serais plus intermittent. Notre spectacle ne plaît qu'au public, pas aux agences "staracadémisées".......

  8. chantal Robillard Puvinel dit :

    Merci mille fois de parler de culture, enfin....!
    Etant plasticienne je me sens une parente pauvre quant à la diffusion de mes oeuvres : je suggère
    - une participation des bâtiments publics Sénat, Ministères, Gares, Banques publiques, Bibliothèques, Musées..etc
    pour exposer des oeuvres d'artistes.(gratuitement)
    - une rémunération correspondant au droit de monstration (ce n'est pas nouveau, mais guère appliqué)
    Je pense comme vous qu'il y a une excellence de la culture Française qui est à préserver...Mais pourquoi ne pas mettre en valeur davantage la culture européenne : la culture allemande et la culture nordique étant, entre autres, peu représentées...Il manque à Paris un Festival des cultures européennes, pour parler d'autre chose que des banques...!
    Se souvenir de l'Europe romantique et du début du XXe siècle, ses poètes, ses philosophes, ses politiques...
    Merci encore de dessiner un nouveau citoyen qui ne soit pas uniquement un compte chèque bancaire...

  9. BARD Gisèle dit :

    C'est toujours avec grand plaisir que je visite votre Blog. Encore une fois je ne suis pas déçue. Je suis d'autant plus ravie de vous voir développer vos idées sur la culture, qu'étant passionnée d'économie politique (votre économie politique) je lis régulièrement vos pages.
    Je suis une militante syndicale CGT,en retraite de mon employeur, mais pas du syndicat et passionnée d'opéra. La "marche est haute" comme vous dites pour parvenir au pouvoir de la France, mais combien cela ferait du bien, à la France et aux français de mettre en application une politique telle que vous la proposez.
    Ne me décevez pas.
    J'ai déjà milité à partir de 1976 pour le programme commun de la gauche avec l'enthousiasme de ma jeunesse avec pour résultat d'être "trahie" par les socialistes comme disait ma défunte mère, qui elle avait connu d'autres trahisons.
    Continuez M. Mélenchon à donner de l'espoir mais une fois parvenu au pouvoir ne laissez pas la "Cour" de vos admirateurs et autres "béni oui-oui" faire écran avec la vie réelle des français.

  10. Scénariste dit :

    «Ce serait une économie de marché parce que l'on doit être dans un régime où l’initiative doit rester reine. En matière de culture, on ne peut pas administrer la création…» J-L Mélenchon
    Godard s’indignait qu’un cameraman syndiqué à la CGT puisse cadrer Pinochet comme le Che… Le cinéma, le cadre, le scénario me semblent éminemment idéologiques. J’ai l’expérience et la conviction que pour que «l’initiative devienne reine», en tous cas dans mon domaine, le cinéma, il faudrait lui permettre d’échapper à l’économie de marché...
    Quand l’impérialisme américain invente le montage parallèle, dans « Naissance d’une Nation » de Griffith, le premier suspense de l’histoire du cinéma est le suivant : les cavaliers du Ku Klux Klan arriveront-il à temps pour arracher une pure jeune fille aux mains d’une meute de nègres révoltés ? La même année, en 1915, les Russes n’ont ni les Soviets, ni l’électricité.
    En 1920, Lev Koulechov, crée un laboratoire expérimental pour comprendre et enseigner le montage de façon scientifique. Dziga Vertov forme « le Soviet des 3 » et lance, à destination des cinéastes soviétiques, un « Appel au commencement ». En 1925, Eisenstein tourne le « Cuirassier Potemkine ».
    Dix ans et une révolution après Griffith, le cinéma soviétique donne au suspense la séquence suivante : les fusiliers marins aux ordres des officiers tsaristes tireront-ils sur les mutins affamés ? Eisenstein fait couvrir les mutins d’une bâche, un meneur la soulève et crie « Frères ! ».
    Plus proche de nous, Renault Donnedieu de Vabres a doté le CNC, via le Fonds d’Aide à l’Innovation de 4 millions d’euros pour permettre aux scénaristes de développer des projets de fictions innovantes. La section « Jeunes Talents » du syndicats des scénaristes que j’ai eu l’honneur de présidée a déposé 14 projets co-écrits en ateliers par des dizaines de jeunes scénaristes. Le pluriculturalisme s’exprimait dans des collections comme « Ces Etrangers qui font la France »… Des thématiques comme les dégâts de la finance casino ou la destruction de l’écosystème par des eurotechnocrates étaient développées dans des séries d’anticipation et se proposaient d’instruire le téléspectateur en distillant un suspense dont le sort de la Planète était l’enjeu sur plusieurs saisons… etc., etc., Que croyez-vous qu'il advint ? Une génération d’auteurs a pris une leçon sur les limites idéologiques de l’innovation dans le cadre de la production de temps de cerveaux disponibles pour TF1. Je compte donc sur un gouvernement de gauche pour financer des projets idéologiquement innovants. Je crois profondément que pas une mesure de déduction fiscale, pas une SOFICA, pas une coopérative ou quelque outil culturel que ce soit n’exprimera la volonté politique de faire sortir le spectateur de sa cécité sur la prétendue « opacité...

  11. Scénariste dit :

    «Ce serait une économie de marché parce que l’on doit être dans un régime où l’initiative doit rester reine. En matière de culture, on ne peut pas administrer la création…» J-L Mélenchon.
    Suite et fin de mon commentaire...

    Pour conclure sur le caractère éminent idéologique du cinéma et, de mon point de vue, sur la nécessité d'administrer la création pour lui permettre d'échapper à la concurrence libre et non faussée du renard libre dans le poulailler clos j'ajouterai quelques mots :
    je compte sur un gouvernement de gauche pour financer des projets idéologiquement innovants. Je crois profondément que pas une mesure de déduction fiscale, pas une SOFICA, pas une coopérative ou quelque outil culturel que ce soit n’exprimera la volonté politique de faire sortir le spectateur de sa cécité sur la prétendue «opacité technique des mesures», «inquiétude ou nervosité des marchés», «main invisible» et autres «TINA» de la doxa libérale, véritables outils de propagande à spéculer debout ! La fiction peut-être un formidable outil de divertissement intelligent. Laissons Hollywood réhabiliter la torture et justifier l'abandon des conventions de Genève en prévision de Gantanamo et Abou Graïb au travers de sa série "24 h chrono" et produisons des films à l'image de notre pays et de notre culture qui fassent l'apologie des droits de l'homme, du respect des peuples et de leur droit au bonheur pour les générations futures. Un Scénariste de Gauche.

  12. Papy54 dit :

    Jean-Luc Mélenchon nous apporte toujours un peu de fraicheur et d'espoir..
    A propos du financement par les fondations, j'ai beaucoup de mal à en accepter le principe. En effet ces fonds versés par les entreprises sont défiscalisés. Il me semble que les sociétés doivent payer l'impôt, et nos élus sont responsables ensuite de la redistribution vers les espaces utiles au bien public dont naturellement la culture fait partie.
    Ce n'est pas à l'entreprise à choisir qui elle soutient. Surtout quand ce soutien est finalement payé en partie par la collectivité.
    Revenons à des choses simples, si l'entreprise veut se faire une façade culturelle, elle l'assume financièrement.

  13. David dit :

    Un des meilleurs discours politiques sur la culture entendu depuis de nombreuses années, merci Monsieur Mélenchon.
    Partout où le privé prend en charge la culture, le but est de faire du fric et du profit. Donc les petits artistes sont délaissés, et, qui plus est, les plus pauvres sont exclus. Les gens ne peuvent pas assister aux manifestations culturelles. Qui peut se payer une place de cinéma à 8 € ? Un concert à 60 € ? Vivement que le public reprenne la régulation de tout ça.

  14. Demdjian Jonathan (27ans) dit :

    Cela fesait bien longtemps que la politique me laissait bien perplexe, avec un sentiment de total désintéressement, une perte de confiance. Entre la baisse tragique de la culture et la montée désolente de la télé poubelle, je comprends aisément l'absence des jeunes et des moins jeunes devant les urnes. Il est grand temps que les politiques en général se refocalisent sur les attentes de la population française, mettent au placard leur langue de bois et leur envie malsaine de pouvoir, pour revenir à l'essense même de la politique: servir le peuple, français et étrangé (par le biais de la politique étrangère).
    Votre rayonnance (pardonnez mon engouement débordant) politique, votre absence de tabou et vos visions réalistes (nous ne pouvons qu'espérer que celles-ci soient réalisables, vraissemblable si l'on s'en donne les moyens), me redonnent confiance en ce formidable outils que nous avons entre les mains. Je pense que vous n'êtes pas assez médiatisé, et cela est bien dommage. Il serait peut être bien venu que vous organisiez un peu partout en france des rencontres avec les jeunes qui ont déserté les urnes depuis trop longtemps. L'internet est un formidable outils, et l'utiliser en fesant un peu comme ces apéros géant (tristement) célèbres et ainsi rassembler un auditoire plus important, autour non pas "d'alcool" mais de réflexions diverses.
    Encore merci d'exister dans notre paysage politique.

    Un jeune convaincu....

  15. romain dit :

    Trés bon discours, ça change (comme d'habitude) de la vacuité des interventions des autres hommes et femmes politiques.
    Merci Jean-luc.

  16. CAPERAA Jean Claude dit :

    Fidèle socialiste,depuis 1961; Mon cheminement social m'a fait parcourir le statut de ; ouvrier salarié,le compagnonage,l'encadrement,la maitise,quelques années de fonction publique;puis j'ai créer ma propre entreprise et
    de ce fait je me retrouve employeur ! Dans ma tète, jamais "patron".Toujours Socialiste.
    Jean luc, Tu représente à mes yeux les Socialistes,Je crois en toi pour provoquer la dynamique necessaire pour assembler ce qui est épars !.°. à gauche... Frat.°. JC Capé...

  17. Bravo Jean Luc
    Très très bon discours et vraiment pas de langue de bois. Mon long parcours depuis toujours axé sur le social et les rapports humains, je trouve ce discours vraiment au top et vraiment vous nous donnez un vrai moral pour l'avenir.
    Toutes les vidéos que j'ai écouté sont au top pour éclairer ceux et celles qui n'en peuvent plus.Il faut continuer à briser le mur du silence et des affaires et ainsi nous arriverons à provoquer une impulsion dans les populations.
    Il faut développer encore l'idée que les coopératives sont une excellente voie pour l'avenir et que les emplois de demain sont aussi dans ce secteur.
    Merci M Mélenchon continuez nous sommes avec vous.

  18. Le Lan dit :

    Merci encore à Mélenchon de dire tout haut ce que l'on pense sans pouvoir l'exprimer! C'est la voix du peuple qui n'a pas l'occasion ni le temps de dire ce qu'il ressent!Continuez et aidez nous à nous exprimer et à nous représenter. Merci de nous faire encore croire à la politique! Médiatisez vous le plus possible puisque c"est le seul mode d"expression actuel.

  19. Van Trier Gabriel dit :

    Comme beaucoup je suis séduit par le discours et la posture de Jean-Luc Mélenchon qui tranchent sur les discours et postures ambiants. Voilà de l’air frais qui fait du bien. Mais il pourrait s’avérer encore plus rafraichissant. Tenir l’art pour ce qui empêche une société de devenir ennuyeuse, ce que je ne conteste nullement, n’est pas à mes yeux suffisant, car l’art est vital, au sens propre du terme.
    Je crois que l’art tire de la vie son matériau, mais il y ajoute ce qui n’est pas contenu dans le matériau : la transformation du sentiment individuel en une forme sociale grâce au procédé artistique qui organise une lutte entre la forme et le contenu. Il implique quelque chose en soi qui transcende le sentiment ordinaire en mettant à contribution une part du psychisme qui ne trouve pas à s’extérioriser dans la vie quotidienne. Partant des sentiments que provoque la vie habituelle, l’art les soumet à une réélaboration dans un processus par lequel nous produisons du réel à venir plutôt que nous reflétons le réalisé.
    Je sais bien que l’art n’engendre pas l’action, mais du moins prépare-t-il l’organisme à l’action. Voilà qui est vital, et pas seulement, ni même avant tout, pour l’action politique. C’est donc au nom de cette fonction décisive pour la vie en société qu’il faut construire une politique culturelle. Nulle nécessité de préparer le goût, le besoin d’art est criant.

  20. Nicolash dit :

    Bonjour M. Mélenchon,

    Vous évoquez l'idée de coopératives de la culture et d'un nouveau statut de l'artiste. Pourriez-vous préciser votre pensée? Est-ce seulement des pistes de travail pour le parti? J'aimerai vraiment en lire plus, je reste sur ma faim.

    Un guitariste (encore un!) fraichement diplômé du conservatoire régional de Paris.

  21. Olivier dit :

    Je ne suis pas d'accord avec l'acceptation des déductions d'impôts sur les achats d'œuvres d'art, ou sur les actions de mécénat. Bien sur, comme le dit M. Mélenchon, au moins on sait ou ça passe, ce qui n'est pas le cas pour la majorité des autres déductions. Mais accepter cette approche revient à accepter une politique culturelle reposant sur un suffrage censitaire. Ce ne sont que les plus fortunés qui peuvent favoriser tel ou tel courant artistique par leurs achats, au détriment d'autres courants plus populaires peut-être, moins rentable sur le long terme, en termes d'images (mécénat) ou financier, en espérant que la côte des artistes bénéficiaires grimpe.
    La plus grande partie de population n'ayant pas accès de facto à ce type d'aide, elle est exclus de la décision politique de soutien à la culture. Faut-il s'étonner après que la culture reste très "bourgeoise" ?
    L'idée des coopératives pourrait être utilisée pour permettre à chacun de bénéficier de ce type de déduction, plus modestement, en regroupant les actes de mécénat.
    Mais encore faut-il être imposable.
    Pourquoi les personnes non imposable ne pourraient pas avoir et donner leur avis sur l'art et la culture ?
    Il serait plus républicain de limiter strictement les déductions d'impôts pour mécénat, et permettre aux plus fortunés de déduire plus si et seulement si d'autres citoyens valident leur choix. Un contribuable pourrait alors déduire 10 fois le montant maximum de ses impôts si ses choix de mécénat sont validés par 10 autres citoyens n'ayant pas de déduction.


Blog basé sur Wordpress © 2009/2015 INFO Service - V3 Archive