Les mauvaises nouvelles des uns peuvent être les bonnes des autres
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Je suis parti trois jours, sans télé, sans radio, sans journaux. J'avais à faire. Pendant ce temps mes amis au congrès de Die Linke à Rostok en Allemagne et d'autres au contre sommet Europe Amérique latine à Madrid poursuivaient notre harassant agenda militant international sans lequel notre Parti de gauche serait hors de sa mission et de ses devoirs. Sitôt revenu, après plusieurs heures de ballade sans objet dans Paris la splendide et sur la terrasse sublime de l'Institut du Monde arabe, j’ouvre mon blog. Alors, les bras m’en sont tombés des épaules : ma dernière note a été lue plus de trente mille fois et il y a plus de mille commentaires. Signe des temps qui me dépasse. Je dis un mot quand même sur le sujet en fin de note. Mais, surtout, je dis ce que je sens avec ce recul, certes bien petit puisqu’il ne s’agit que de trois jours, mais le premier depuis longtemps. Dites : c’est vraiment la fin d’un monde. Il faut se préparer sérieusement pour la relève. L’affaire va être rude !
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