28juil 09

Nouvelle édition relue et augmentée le 31 juillet d'un paragraphe concernant une brève du Canard Enchainé.

Un voyage imprévu me tient pour six heures au total dans le train, aller et retour. Entre les deux je serai au cimetière. La mort en effet ne prend pas de vacances. Je note seulement qu’elle semble plus distraite aux beaux jours, si bien qu’elle semble faucher davantage à l’aveuglette. Et cette fois ci je crois qu’elle s’est encore plus lamentablement trompée d’adresse qu’a bien des occasions auparavant.

Alors, un enchainement d’idées sombres me fait voir toute chose par le bout où elles se délitent et se dispersent. Les paradoxes de la mort vont leur chemin. Je vérifie que l’absence définitive commence par une présence, en souvenir, plus brulante que toute réalité. A sa façon la mémoire est plus forte que la mort. Le train a démarré à six heures dix sept depuis Aix en Provence. C’est l’heure où « blanchit la campagne ». La splendeur du jour effacera les lambeaux de nuit qui me colle à l’esprit, c’est certain. A présent ce sont les merveilles de la Provence qui passent à la fenêtre. J’ai feuilleté la presse tout à l’heure, pour la première fois depuis plusieurs jours. Tout est métaphore des abimes de perplexité où cette mort soudaine m’a précipité. Je vais donc parler des corps souffrant notoires. Le président de la République, le Parti Socialiste.

 RECONFORTS OSTENTATOIRES

Un accident de santé du président de la République, bénin disent les médecins, occupe l’espace médiatique. C’est bien normal. Le souffrant tombe de bien plus haut que de sa taille. Dans un autre contexte, je n’aurai rien à en dire sinon pour exprimer les sentiments d’humanité en usage pour la circonstance. A ce propos, je note perfidement que l’expression publique de tels sentiments en modifie cependant la signification. Un mot de réconfort s’adresse à celui qui est en état de le recevoir comme tel. Si mon pire ennemi me souhaitait publiquement bonne santé, il est peu probable que j’apprécie vraiment. Je le soupçonnerais même de se procurer à peu de frais de la bonne image sur mon dos. Si je voyais la chose autrement, alors, c’est que celui-là ne serait pas vraiment mon pire ennemi. Je dis tout cela en général et de façon abstraite, car je ne me connais pas un tel ennemi. Cependant pour prolonger ce raisonnement je me dis : la seule élégance que j’attendrais de lui finalement c’est qu’il veuille bien se faire discret et attendre mon rétablissement pour reprendre le combat. Cela signifie qu’un mot de réconfort sincère tient compte des conditions dans lesquelles celui à qui il est destiné va le recevoir. Non ?  Voici ma conclusion acide. Rendre publique une telle démarche me semble davantage destiné à sa propre valorisation qu’au réconfort de l’autre. Après cela, j'ai encore autre chose à dire.

NEVROSE DE TRANSPARENCE

C’est d’ailleurs à quoi je voulais venir en abordant ce sujet. En effet, ici et là, on lit et on entend d’aucuns, et non des moindres, réclamer « davantage de transparence » à propos de la santé du Président de la République. Le malaise selon le journalissime « Le Monde » serait surtout celui que nous ressentirions à ne pas savoir au juste de quoi a vraiment souffert le Président. Evidemment ce serait là une de ces manifestations de « l’exception française » qu’abomine par-dessus tout l’organe central de référence. Cette histoire de transparence est évidemment un refrain bien partagé du monde médiatique. La transparence serait le vestibule de la vérité. On passerait de l’une à l’autre sans en être odieusement empêchés, comme ce serait le cas aujourd’hui, par le fait que les informations sont données par d’autres que les professionnels de l’information éthique, indépendante et vérifiée  que l’on connait. Je ne m’étends pas sur le corporatisme en béton armé qui, dans ces conditions, soutient la revendication de transparence ainsi formulée. Dès lors, pour moi,  l’exigence de transparence n’est que l’avant poste d’une autre revendication. Car, bien sur, aucune information "officielle" ne serait jamais admise comme telle par les professionnels de l’information. Il leur faudrait encore « vérifier » comme chacun sait qu’ils le font en permanence avec soin et scrupule. Revendiquer la transparence, c'est en fait revendiquer un pouvoir inquisitorial sur les personnes faute d'en avoir sur la politique qu'elles mettent en oeuvre. De notre côté, nous, les humbles récipiendaires de l’information « vraie » ainsi établie, que pourrions-nous apprendre de cette façon qui implique notre devoir de citoyen ? En fait rien. Absolument rien. Quoiqu’on nous en dise nous ne serions en état de rien faire. Heureusement. On imagine ce que donnerait une évaluation des capacités d’agir du chef de l’état à partir d’une investigation médiatique de cette sorte ? Quel formidable pouvoir arbitraire! Pensons-y au cas particulier qui revient sans cesse sur le tapis : le cancer de François Mitterrand. Détecté dès le mois de juin 1981, parait-il, selon les déclarations du médecin déchu qui eu à en connaitre. Comme cette information aurait été précieuse en plein débat sur les nationalisations ! Un bon débat sur la prostate du président et, par extension, sur son aptitude à gouverner aurait donné un relief tellement saillant aux questions posées ! J’imagine quels changements formidable cela aurait apporté aux manifestations de droite où l’on entendait crier « Allende on t’a eu, Mitterrand on t’aura ! » Sans compter qu’on aurait pu harceler le récalcitrant à longueur d’année, à chaque crise, à chaque débat tendu. « L’indemnisation des nationalisées ? La prostate, vous dis-je ! » « L’école privée ? La prostate bien sur ! » La prostate on le sait est suffisamment bien placée dans le corps d'un homme pour ajouter une part d'humiliation supplémentaire à la comédie dégradante qui se serait orchestrée. Qu’on se souvienne de ce qui se publia, articles et croquis à l’appui, quand le président subit une intervention chirurgicale à cet endroit en 1992. Un paroxysme de transparence et de réalisme ou le bon gout céda bien sur le pas, contraint et forcé, au « devoir d’information et de transparence ». Pour quel résultat ? Aucun. Heureusement! Sinon la pudeur du malade offensée et celle de ceux qui l’aimait blessée. Caricature ? Bien sur. Un peu. Juste ce qu’il faut pour faire réfléchir à propos des pseudo-évidences de notre temps. La transparence sur la santé des responsables politique est le nom du pouvoir qui serait donné à ceux qui s’en feraient les vigiles. C’est aussi le nom de la déshumanisation de la personne politique transformée en « chose publique », en deçà de toute dignité humaine, au-delà de toute raison politique. On veut une preuve de plus? Que l’on se reporte à ce que dirent en leur temps les hautes autorités médiatiques de notre pays après l’accident cardiaque dont souffrit Jean-Pierre Chevènement. Au mieux nous étions invités à préparer nos formules de condoléances. Au pire à compatir à son état définitivement légumineux. Ce que je dis se vérifie à la lecture des archives de l’époque. Pour finir, le légume revint à son poste exigeant de ministre de l’intérieur et le cher défunt trouva assez d’énergie pour mener rondement une élection présidentielle. Les fossoyeurs ne furent pas les payeurs. Evidemment. On attend toujours l’auto critique. En réalité, la transparence est un prétexte dans la lutte que se mène les pouvoirs dans les sociétés de notre époque. Bien sur, la transparence a bonne côte dans le public. C’est une demande porteuse. Toutefois, sans être un as de la psychologie, chacun sait qu’en grattant un tout petit peu, on ne trouvera en faveur de cette transparence que des motivations discutables. Beaucoup de voyeurisme surtout. On l’avait deviné. Mais ne perdons pas de vue l’épaisse couche d’auto suffisance qui s’y ajoute. Il repose sur les certitudes empiriques qui ont la faveur de ce temps. « On verra et alors on saura », rien que d’avoir vu ! Le monde est devenu le royaume des saint Thomas. Je crois seulement si je vois ! Et son inverse : si je vois seulement alors je crois. Mais comment m’assurer de ce que je vois ? Comment confier à mes sens le soin de reconnaitre la vérité ? Ce problème philosophique qui occupe vingt ou vingt cinq siècles de discussions, a fondé la démarche des Lumières, et nous a enjoint l’exigence d’une méthode pour penser, dont les instruments sont sans cesse remis en cause par les avancées de la science et l’accumulation individuelle d’expériences. Euréka, tout ce fatras préhistorique est réglé depuis peu, définitivement. Grace à la « transparence », mère de toute vérité. En fait, si l’on y regarde bien, la transparence est une obsession de névrosé. Aucun être ne se construit en transparence avec les autres. C’est impossible sinon au prix d’un refoulement qui mènerait la conscience tout droit au colla pse ! La part d’ombre, la pudeur, l’existence d’une intimité incompressible, la distance et le quant à soi, la pratique de l’oubli, sont radicalement indissociable de la plénitude de l’état de conscience. Ainsi cette histoire de transparence est une fumisterie à toutes les échelles auxquelles on peut prétendre qu’elle s’applique. Rien ne nous dispensera de devoir penser avec méthode. Jamais la politique d’un homme ne sera résumée par l’état des ses organes. Jamais n’existe un angle sous lequel la réalité se donne à voir toute nue et parlant d’elle-même sans qu’une interprétation n’interfère.

EVIDENCES ET ECHELLES

Cela est vraie des affaires humaines comme de la plus évidente réalité matérielle. Tout est affaire d’échelle à laquelle on observe. Et l’échelle dépend de l’objectif poursuivi. Il n’existe aucun niveau de réalité qu’il suffise de regarder pour comprendre ce qu’il est. Par exemple on connait cette question simple: quelle est longueur de la côte provençale ? Réponse ? « Ca dépend ». Pourtant on pourrait dire que cela va de soi et qu’il suffit de mesurer. Mais mesurer comment ? Si l’on fait le tour de chaque caillou, le résultat ne sera pas le même que si on fait le tour de chaque rocher et ce sera encore différent si on ne fait le tour de rien. Vu ? Cet exemple extrême n’intervient que pour montrer l’étendue du problème que les rustres prétendent régler avec leurs pseudos évidences comme celle que serait la transparence comme observatoire de la vérité. « Mais, protesterait un sophiste du genre de François Hollande, tu préfèrerais l’opacité ? ». On se doute de la réponse contenue dans la question. « Non, bien sur ». « Donc, tu es toi aussi pour la transparence ! » triompherait aussitôt l’acrobate des mots. « Oui, rétorquerai-je penaud. » Puis je refermerai le piège de mon apparente acceptation : « Mais pour voir quoi, en « toute transparence ? ». » « Voir si le chef de l’Etat est en mesure d’accomplir sa fonction » tenterait le joueur de bonneteau sémantique. Vaste question. Ce que signifie exactement l’aptitude d’un homme de pouvoir à exercer ce dernier dans des conditions raisonnables est une question extrêmement délicate à trancher. Disons même que c’est l’objet du débat démocratique. Mais passons sur ce détail et restons-en à l’apparente évidence de la question. Supposons donc que le chef de l’Etat soit absolument incapable de remplir son mandat, pense-t-on que les médecins parviendraient à le cacher ? Combien de temps ? Et pourquoi diable la ribambelle de prétendants qui tournent en soupirant d’impatience autour du tombeau vide en attendant qu’il se remplisse, tairaient-ils une telle information ? Encore n’ai-je pas supposé un instant que qui que ce soit ai assez de conscience civique pour donner l’alerte. Car tout le monde sait bien que l’honnêteté et le sens des responsabilités n’existe ni en politique, ni en médecine, ni nulle part en général hors des précieuses altitudes où règnent les pontifes intraitables de la transparence. Voila pour la controverse quant au fond des arguments implicites qui semble donner à l’exigence de « transparence » sa force d’évidence. Usurpée. Finissons par la part d’humanité que cette prétendue méthode de poursuite de la vérité nie chez celui qui en fait les frais.

NICOLAS SARKOZY EST-IL UN ETRE HUMAIN ?

Si l’étalage public des observations des médecins et le droit d’investigations qui serait reconnu aux enquêteurs médiatiques s’appliquaient alors même qu’ils ne servent à rien, il ne faut pas en conclure que ce serait en quelque sorte sans conséquence. Je n’en retiens qu’une ici. Le droit d’une personne au secret médical. Ce secret serait aboli dans ce cas. Le droit qu’en a Nicolas Sarkozy n’existerait plus. Pourquoi ? Quel est cet espace nouveau ainsi créé ou un droit universel cesserait de s’appliquer ne fut-ce qu’à une personne ? Comment une conscience de gauche peut-elle admettre un tel régime d’exception alors que le principe fondamental de gauche est que les droits légaux sont universels ? Devrions-nous être d’accord avec cette singularité au motif qu’elle s’applique à notre principal adversaire politique ? Que resterait-t-il de nous après cela ? Si Nicolas Sarkozy est un être humain, alors il doit bénéficier de la reconnaissance des mêmes droits que nous réclamons pour nous-mêmes. En dérogeant à ce principe nous concéderions davantage que ce qu’il nous prendrait de lui-même du fait de son orientation politique. Puisque Nicolas Sarkozy est un être humain et qu’il est assez conscient pour sortir dans la rue la main dans la main avec son épouse, la seule chose que nous puissions faire est d’en tirer des leçons pour nous-mêmes. Elles pourraient utilement l’inspirer lui aussi. Disons-nous qu’il n’est pas raisonnable de courir sous le soleil de midi à cinquante quatre ans. Et même si l’on plus jeune, ce n’est pas raisonnable non plus. Et même, juste pour faire du badminton au camping, ou du volley sur la plage. A supposer que faire du sport sans y être obligé soit raisonnable.

DU DANGER DE LA JOIE A PROPOS DU MALHEUR DES AUTRES

Fouiner dans les draps des malades, même bénins n’est donc pas raisonnable. Ce qui n’est pas raisonnable non plus c’est d’enterrer les vivants. Bonjour la saoûlante chronique mortuaire permanente qui entoure à présent le PS. Là encore soyons méthodique. Le diagnostic de « coma dépassé », de « mort clinique » prononcé par tant de caciques socialiste ne doit rien à la science et tout à la politique active. Ils ne déplorent pas, ils souhaitent. Ceux qui tapent sont ceux qui veulent la fin du PS par d’autres moyens, plus radicaux, plus définitif que ceux utilisés jusque là. Mais sur le fond, concernant l’orientation proposée ou plus exactement « suggérée » qu’est-il dit ? Rien d’autre que ce qui est engagé partout en Europe et qui conduit à la liquidation de la gauche. Tout est pervers dans ce jeu d’ombres. Je ne pointe ici qu’une question qui me préoccupe. Rien de tout cela, je veux dire le sabordage du PS ne correspond à l’intérêt de la gauche à cette heure. Le projet qui nous a animés en créant le Parti de Gauche, quelle que soit la profondeur des divergences avec le PS des oui-ouistes, n’a jamais été sa pulvérisation. Là où elle se produit, quand elle se produit, elle ne libère aucune force active pour la gauche. Le socle social bobocrate de l’actuelle nomenclature socialiste et de son électorat reste très éloigné des questions sociales qui sont l’enjeu du moment politique. Son adhésion aux thèmes de l’écologie politique reste elle aussi très formelle et ne dépasse pas le stade de l’anxiété de posture et de la dénonciation verbale. L’égoïsme et la tartuferie de ces milieux ne sont contrebattu d’aucune manière par un contre modèle politique de gauche. Nous n’y sommes pas audibles. Le décervelage est très avancé. Et quand la banquise des habitudes du vote socialiste se dissous dans la mer de l’abstention et de la mode électorale ce n’est pas au profit de la gauche de transformation sociale. Ce constat n’est pas à reprocher aux socialistes. La cause est entendue avec eux. Ils en sont absolument et durablement incapables. Tout ce que nous pouvons attendre d’eux c’est qu’ils gèlent le plus longtemps possible cet électorat. Sans l’entrainer plus à droite qu’il n’y est déjà disposé. Jusqu'à quand ? La gauche de ce parti a cessé d’exister de manière autonome. Elle n'est plus politiquement détectable. Pratiquement, humainement et idéologiquement. Elle n’est pas une rescousse envisageable. Il est donc de notre intérêt bien compris que tout ce bric a brac nommé PS tienne, fusse par la peinture des murs. Jusqu'à ce que nous soyons capables de faire passer la relève aux catégories sociales qui sont intéressées au changement profond que le moment réclame et que nous visons. Cela signifie que le principal problème à gauche ce n’est pas le PS, aujourd’hui. Encore une fois, la cause est entendue à son sujet. Le principal problème c’est nous. Nous, l’autre gauche. Comment construirons nous une force d’entrainement majoritaire ? Je ne parle pas seulement du système d’alliance qui en est la condition nécessaire. Je parle des mots d’ordre, des projets, des objectifs que nous pouvons faire partager par une majorité de citoyens qui aillent voter et se mobilisent encore ensuite pour les faire aboutir.  Mon intention est de dire que le rabâchage anti socialiste et la fameuse « schaden freunde », « joie à propos du malheur des autres » ne constitue pas une politique alternative à gauche. Attention à ne pas hurler avec les loups ! L’anti socialisme ne mène nulle part. La concurrence avec le PS n’est pas une fin en soi. Le recul du PS n’est pas un objectif à soi seul. Tout ceci est dit pour que nous acceptions enfin de prendre notre place et de nous hisser à la hauteur des taches à accomplir. Bien sur, tout cela, dit en pleine vacances et à la sortie d’un cimetière, ne doit pas nous conduire à faire du sport pour oublier nos misères. Surtout sous le soleil de midi. Quand il y en a.

LE CANARD RECOPIE DES BETISES

Un commentaire à la suite de ce post m'a mis en alerte. "Le canard enchainé", nous débine. Horreur! Je ne l'avais pas encore acheté cette semaine! Je n'y manque pourtant jamais.La lecture du Canard Enchainé est un rite hebdomadaire qui maintient en forme. Elle entretient le bon gaulois qui dort (à peine) en chacun de nous, gaulois d’origine ou pas, c’est à dire ce mélange d’irrévérence, de pied de nez aux importants, de flingage tous azimut, et ainsi de suite, qui rendent ce pays fondamentalement ingouvernable autrement que par obstination.  Personnellement, je lis « le Canard » depuis que je sais lire, ou presque. J’ai senti comme un grand honneur de passer du statut de rieur à celui de sujet de rigolades et brocarderies. Je n’ai pas été méprisé. La seule critique d’un de mes livres jamais parue dans ces colonnes solennelles fut un essorage à sec, les caricatures m’ont toujours donné soit la joue bouffie soit le profil filiforme à mesure de mes abus et régimes. Je ne me plains pas. La gloire d’être fracassé par  « Le  Canard » me suffit. D’autres paieraient pour que « le Canard » les assassine. Mais il faut bien dire aussi que ça donne parfois les abeilles. La perfection m’est suspecte. Je trouve qu’elle sent le Tartuffe. Cette fois ci, je me pourlèche. Enfin la boulette ! La vraie. « Le canard », mon volatile préféré, le Zorro palmipède, l’insolent qui ne mord qu’à coup sur avec toujours une vacherie d’avance sous le pied, « Le Canard » en personne, est pris en flagrant délit de « Libération ». Hé ! Hé ! Libération : recopiage d’un argumentaire socialiste de droite en fiel concentré, abus biaisé de citation, citation de citation non vérifiée, mauvaise foi ostentatoire : la totale. Au cas précis il s’agit de la position qui m’est attribué à propos de l’élection municipale partielle d’Aix en Provence. N’importe quel lecteur peut s’y reporter puisqu’elle est toujours sur ce blog. Voici pourtant comment « Le Canard » en rend compte. Lisez attentivement. Vous pourrez faire la comparaison. Insigne privilège ! Car ceux qui liront « le Canard » et le croiront comme je le fais moi pour à peu près tout ce que j’y lis, y compris les vacheries à mon sujet, ceux là seront seulement trompés. Citation donc : « Jean-Luc Mélenchon est content de ne pas avoir donné de consigne de vote pour la municipale d’Aix en Provence (le nouvel obs 22/7). Motif : il ne voulait pas qu’une alliance des forces de gauche soit ensuite « cent fois citée comme jurisprudence partout ailleurs en soutien à d’autres combines aussi calamiteuses » L’union de la gauche se porte de mieux en mieux ! ». Je ne vais pas reprendre point par point ce tissu d’affirmations stupides. Je ne vais même pas rigoler de lire que « le Canard » fait une brève à partir d’une brève du Nouvel Observateur et de plus  sans aller vérifier la source. Pourtant, journalistiquement ça ne le fait pas beaucoup. Sans compter qu’on ne lit pas « Le Canard » pour y lire des ressucées du Nouvel Obs ! Celui qui va à Munich, vaut mieux qu’il aime la bière ! Celui qui lit le Nouvel Observateur ou Libération sait ce qu’il achète. Il est donc normal qu’il l’y trouve. La deuxième gauche moisie est en vente libre. A ce propos je recommande le papier hilarant du « Monde Diplomatique » intitulé « dix jours en mer avec trois astres de la pensée française » où l’on reçoit des nouvelles fraiches d’un grand délabré, l’indépassable Jacques Julliard, le petit Brejnev de la modernité social démocrate (je sais que cette blague n’est pleinement accessible qu’au personne de l’âge de Julliard). Bon. Donc passe que ce genre de journal, affublé de tels éditorialistes publient des sornettes rassurantes pour le boboland. Mais le « Canard » ! « Le canard », nooooon ! Pas « le canard », aussi ! N’empêche: il faut rectifier. Je vais donc juste ironiser sur le ton ordinaire du « Canard » lui-même. Donc, pour « Le Canard Enchainé », une alliance au premier tour du PS avec un olibrius dont la liste aux municipales de 2001 était intitulée « que la droite se lève » c’est l’union de la gauche ? Et l’alliance de ces deux là au deuxième tour avec un autre comique qui se déclare lui-même « co-fondateur de l’UMP » ? C’est l’union de la gauche ? Et quand j’approuve mes camarades de ne pas céder au grossier chantage pour les obliger à cautionner cette mascarade, je mets à mal « l’union de la gauche » ? C’est Jean Noël Guérini qui écrit les brèves à propos de Paca dans « le Canard » ? Ou seulement un de ses amis ? Jean-Noel a décidément le bras de plus en plus long.


436 commentaires à “De la transparence en matière de santé du président et autres fadaises”
» Flux RSS des commentaires de cet article
  1. Gilles dit :

    @BA
    Oui ton post est édifiant !

    Les banques encaissent les milliards versés par l'Etat puis ces banques menaçée de cessation de paiement profitent de notre argent pour se renflouer et redistribuer les bénéfices et autres plus values à leurs traders et demain remunèreront les actionnaires sous formes de dividendes sonnants et trébuchants et ensuite les dirigeants par des rémunérations somptuaires.

    Le capitalisme dans toute sa splendeur !

    Et dire que le gouvernement français demandait aux producteurs de fruits et légumes de rembourser 500 millions - soit disant indument perçus- obéissant ainsi à la commission oligarchique et a-démocratique de Bruxelles ! ça manque pas d'air !

    Le capitalisme et l'hypocrisie d'un gouvernement - simple faire valoir politique et juridique d'un capitalisme financier et transnational outrancier - dans toute sa spendeur !

    Certes, le Ministre de l'Agriculture annonce ce soir qu'il reporte les choses, procédera à une expertise (sic), ne demandera pas pour le moment le remboursement des sommes et propose des aides (sic) en exonération de charges, etc... Reculer pour mieux sauter et gagner du temps. Sarkozy veut passer des vacances tranquilles, il a besoin de repos et ne veux pas avoir de nouveau malaise ni que les campagnes soient à feu et à sang !

    Mais Bruxelles s'en fou et réclamera son dù. De toute manière la fin de l'agriculture protégée, subventionnée, aidée et nourricière arrive. En 2011, ce sera l'agriculture capitaliste, libérale, productiviste à souhait, destructrice d'emplois, de l'écosytème et des pays du tiers monde comme destructrice des petits exploitants et des producteurs de fruits et légumes. Le seul objectif de la Commission de Bruxelles, c'est la réalisation du grand marché transatlantique avec son corollaire de la concurence libre et non faussée,la fin des nations, la vassalisation de l'Europe sous impérialisme Etats-uniens. Bref, le monstre froid du capitalisme planétaire réalisé protégé par son bras armé l'OTAN.

    Pour éviter tout cela, peuple citoyen relève, mobilise toi, brise tes chaines de tes nouvelles servitudes et marche en avant vers l'émancipation et la République sociale.

  2. maxou dit :

    Nipontchic, je ne suis pas le porte parole du PCF, et puis vous n'en avais pas marre de tirer toujours dans le même sens ! Mais je sais bien que c'est pas innocent et vous savez très bien ce que vous faite......... Ça fait combien de temps que vous êtes amoureux euse de moi !
    Rassurez vous moi aussi je vous aime très très fort!

  3. maxou dit :

    Santé, l'âpre bataille d'Obama
    États-Unis. La réforme promise pendant la campagne électorale est cruciale. Mais elle connaît des ratés. Les adversaires du président le menacent d’un Waterloo tandis que les partisans d’un système universel manifestent.
    Le dossier complet dans l’Humanité de lundi.
    Obama est menacé d’un Waterloo. Si son projet de réforme de la couverture médicale ne passe pas au Parlement, « cela va le briser ». C’est Jim De Mint, sénateur républicain de Caroline du Sud, qui a lancé l’anathème. Triomphant, il ajoute : les républicains pourront remporter les élections partielles de l’année prochaine et reprendre la majorité au Sénat.

    Pour quelques points en moins dans les sondages, six mois après l’entrée à la Maison-Blanche, Obama serait donc à la veille d’une déroute sur un terrain dont il avait fait la priorité de ses priorités durant sa campagne électorale. La réforme d’un système de santé aberrant qui laisse 47 millions d’Américains (chiffre cité par le président) sans les moyens de se soigner, faute de pouvoir payer un contrat d’assurance. Une promesse approuvée massivement dans les sondages (72 % en mai) pourrait-elle échouer dans la tempête déchaînée par les maîtres du système ? Certes, six mois après l’arrivée à la Maison-Blanche, le temps de la lune de miel est passé, mais avant Obama aucun président n’a jamais eu une majorité aussi étendue.

    Or, cinq millions de personnes, selon l’Institut Gallup, ont perdu leur assurance depuis septembre. Soit parce qu’elles ne peuvent plus payer les primes qui augmentent plus vite que l’inflation et les salaires, soit parce qu’elles ont été licenciées, soit parce qu’elles sont victimes de la baisse de la valeur de leur maison, valeur repère qui servait à la banque pour fixer leurs emprunts, soit parce que leurs cartes de crédit ont épuisé les possibilités de se procurer des fonds (ce pourrait être la prochaine bulle après les subprimes)… Assurance maladie et retraites figurent dans le contrat des entreprises, salariés et patrons payant chacun, en principe, une part de l’assurance. Mais depuis l’ère Bush, la part patronale est en forte diminution, quand elle n’a pas été supprimée au nom de la compétitivité. À la fin de l’année, on pourrait compter 50 millions d’exclus. Une seule possibilité : les coûteuses assurances privées

    Plus de trois millions d’enfants sous-alimentés
    Résultat, les inscriptions aux services d’aide aux plus pauvres ont augmenté cette année de 23 %, selon le Wall Street Journal. La demande de bons alimentaires, les foods stamps nés de la grande dépression, pour ceux qui n’ont plus de quoi se nourrir a augmenté de 19 %, toujours en un an. Derrière ces chiffres, le drame de familles entières, de 3,5 millions d’enfants de moins de 5 ans sous-alimentés (soit plus de 17 %). Ce sont des millions d’Américains qui tombent au-dessous du seuil de pauvreté fédéral, 21 910 dollars par an (15 700 euros) pour quatre personnes. Pour que les enfants puissent être épargnés, Barack Obama a fait voter une loi qui prend en charge gratuitement les plus démunis. Hors statistiques officielles, il y a ces exclus du seuil de pauvreté mais qui n’ont pas de quoi payer les contrats d’assurance. Ce n’est pas d’eux qu’il est question au Capitole, dans le débat sur la réforme mais de ce que Jim De Mint appelle « la liberté de choix », opposée à une intervention de l’État, assimilée au socialisme, voire au communisme. L’horreur. Ce ne sont pas des bureaucrates, dit-il, qui vont dire aux personnes âgées quelles pilules elles doivent prendre. Chacun doit avoir le choix. Le choix de son assurance et donc de son médecin, de son hôpital, de son traitement, selon les règles de la libre entreprise. Un choix en réalité imposé par les compagnies d’assurances privées, selon leurs multiples cautions, les consignes et les protocoles imposés au personnel médical de l’industrie hospitalière, selon une industrie pharmaceutique qui vend les médicaments au prix fort (les mêmes sont moins chers au Canada), selon les exigences de l’Association des médecins (l’AMA)… en fait selon des réseaux de soins plus préoccupés par l’augmentation des dividendes des actionnaires de leurs sociétés cotées à Wall Street que par le serment d’Hippocrate. Le système ignore la prévention pour le traitement curatif, lui préfère le soin à l’acte, d’un meilleur rapport.

    Les dépenses les plus élevées au monde
    Au nom de la concurrence libre et d’une compétitivité non faussée par l’État, cette coalition des armées de l’empire de l’Ancien Régime est partie sur le sentier de la guerre contre une réforme qui n’a pas pourtant l’intention d’instaurer une sécurité sociale pour tous comme on la connaît en France et en Europe. Le single payer, cette sécu demandée par les syndicats, les associations progressistes et une partie des médecins, promise en 2001 par le sénateur Obama pour mettre fin au système qui fait des États-Unis le pays où les dépenses de santé sont les plus élevées au monde et où, comble de l’inefficacité, l’espérance de vie arrive au 24e rang des pays développés dans le classement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Et la mortalité infantile au 8e rang derrière Cuba. Les dépenses creusent d’année en année un déficit dans un budget fédéral contraint par le Medicare (pour les plus âgés de 65 ans) et le Medicaid (pour les plus pauvres) de voler au secours de malades et d’hôpitaux publics, qui sous le règne du marché s’alignent de plus en plus sur les privés.

    Dans l’imaginaire hérité de l’histoire de la conquête, du puritanisme, ceux qui ne travaillent pas sont des paresseux qui vivent de la charité publique, des impôts payés par les honnêtes gens qui travaillent dur. Car il y aurait toujours « une nouvelle frontière » à conquérir. Une idéologie qui ne perd pas de poids dans la récession qui frappe dans un pays qui a perdu l’hégémonie de jadis, mais qui continue à fournir des arguments au parti de la libre entreprise. Sous le déluge de pub télé des républicains, 42 % ont peur de voir leurs impôts augmenter et se prononcent contre la réforme (sondage du Wall Street Journal, jeudi dernier). Depuis toujours ces disciples ont tiré à boulets rouges sur les velléités de réforme du système de sécurité sociale des présidents Kennedy, Johnson, Carter, Clinton. À l’époque de celui-ci, Hillary Clinton avait dû capituler sans condition avec un projet légèrement plus avancé que celui d’Obama.

    Le poids des lobbies
    Cette fois, selon la méthode qu’il a toujours prêchée pour surmonter les divisions partisanes, Obama doit trouver un compromis acceptable par une majorité d’élus des deux partis. Il en a réuni à la Maison-Blanche. Il est allé au Congrès pour les convaincre. En même temps, sans trop d’illusions sans doute, il a fait appel aux réseaux des temps électoraux, un million de mails, de lettres ont été adressés aux sénateurs. Des spots passent sur les sites du syndicat des infirmières ou des associations : ceux qui viennent de perdre leurs assurances ou qui ne peuvent s’en payer témoignent à la télé. Ceux de la présidence, à la télé, se terminent par « It’s time ». C’est le moment de réformer. Une manifestation a lieu samedi devant le Sénat. Des dizaines d’associations, des syndicalistes, des féministes (les femmes, les Noirs et les Hispaniques sont les plus touchés) se rendront au Sénat à Washington. Des manifestations auront lieu dans 53 villes pour commémorer la naissance, il y a 44 ans, des premières institutions d’aide.

    Le combat est serré. L’armée du sénateur De Mint avait rassemblé, dès le premier jour du débat, un millier de représentants des maîtres des réseaux de santé dans les couloirs du Capitole. Les lobbyistes dont les carnets de chèques arbitrent le champ de bataille (voire ci-contre), laissant dans le doute une réforme qui devait apporter une couverture médicale à 22 des 47 millions qui n’en ont pas, en élargissant le domaine du Medicare.

    Et dans la plaine de Waterloo, on a vu la troupe des Blue Dogs (les chiens bleus), un groupe d’une quarantaine d’élus démocrates, passer à l’ennemi pour s’opposer à la réforme, habillés en combattants du déficit et respectueux de la liberté du choix chère à Jim De Mintt. Jusqu’au bout, Barack Obama aura mené le combat pour en finir avant les vacances parlementaires, le 7 août, afin que la réforme puisse être adoptée cette année comme promis. Hier, après avoir arraché un consensus au sein d’une commission au Congrès, le Washington Post titrait : « Il cherche un soutien en promettant moins ». Le journal rappelait qu’Obama n’a jamais promis que tous les non-assurés auraient une couverture maladie. Dans le meilleur des cas, le vote de la loi réformant le système de santé américain n’aura pas lieu avant l’automne.

    Jacques Coubard

    Pour saisir les enjeux et la complexité du système américain lire le Système de santé américain, d’Élisabeth Chamoreau, Documentation française ; le Welfare State en Amérique du Nord, l’Harmattan, et la Conscience d’un démocrate, du prix Nobel Paul Krugman.

  4. Hold-up dit :

    Le jour où les Israéliens comprendront que leurs dirigeants les conduisent à la ruine à plus ou moins court terme, et qu'ils se déshonorent en massacrant et en parquant les Palestiniens, ils auront fait un grand pas vers la Liberté.

    Ce qui est parallèlement incroyable aussi, c'est la corruption de tous leurs dirigeants. Reprenez les manchettes des journaux depuis trente ans, il n'y en a pas un qui n'ait pas trempé dans une affaire de corruption financière ou autre.
    Quasiment tous, ont eu à faire avec la Justice Israélienne. Bonne fille, celle-ci a toujours plus ou moins étouffé les affaires de corruption. Elle sait se rendre plus impitoyable avec les Palestiniens ou avec Salah Hamouri, condamné de force à 7 années pour un délit qu'il n'a pas commis et qu'il n'avait aucunement l'intention de commettre.

    Voila maintenant que le dirigeant fasciste et promoteur de l'extermination de tous les palestiniens, selon ses propres déclarations dans la presse (voir vidéo ci -dessous) M. Avigdor Lieberman, est lui aussi recherché pour corruption financière par la justice de son pays. Et encore un !

    Le régime militariste d'Israël, régime de corrompus et pure machine militaro-industrielle semble ne produire que des figures martiales toujours plus belliqueuses les unes que les autres. Elles semblent d'autant plus vindicatives qu'elles sont complètement et initialement corrompues.
    Il doit y avoir un lien entre cette corruption des dirigeants Israéliens et le refus de la paix par l'État d'Israël. Ce sont deux options qui se renforcent et se perpétuent. Il y faut toute l'abnégation de certains intellectuels Israéliens humanistes pour redorer le blason de cet État. Il est dommage qu'ils soient trop rares. Le Monde diplomatique a rendu hommage à l'un d'entre eux, " l'ami Israélien " : Amnon Kapeliouk. Il en existe d'autres, bien heureusement. On aimerait plus les entendre.

    Pour lire sur les déboires de A. Liberman :

    "Fraude fiscale, blanchiment, corruption : le si controversé chef de la diplomatie israélienne risque 31 ans de prison."

    http://www.rue89.com/2009/08/04/israel-le-debut-de-la-fin-pour-lultranationaliste-lieberman

    Une autre vidéo assez parlante du site " Bachich.fr " sur les expropriations des Palestiniens de leur domicile :

    http://www.bakchich.info/Jerusalem-on-visite-le-mur-de,08333.html

  5. Hold-up dit :

    @ maxou

    Merci pour l'envoi de l'article sur la réforme d'Obama. On comprends bien qu'en fait il y a trois options : celle d'Obama, "social-libérale ", toujours à mi-chemin, lénifiante, ne terminant pas le travail à proprement parler : un faux réformiste comme tous les sociaux -libéraux, et deux autres options : " Les adversaires du président [qui] le menacent d’un Waterloo tandis que les partisans d’un système universel manifestent. "

    Trois options. Il faut savoir que dans l'option d'Obama, il y aura un triage des humains - Le mot n'est pas trop fort. La personne humaine est vue à l'aune de la pure comptabilité, de ce qu'elle a couté et de ce qu'elle a rapporté, en pure monnaie sonnante et trébuchante.

    Ainsi un enfant sera moins important qu'un adolescent, un adolescent sera moins important qu'une jeune personne. Une jeune personne sera plus importante qu'une moins jeune et une moins jeune aura la priorité sur un vieillard qui lui pourra crever "librement" car sinon cela couterait trop cher à la plus grande puissance du monde qui engouffre 1.464 milliards de dollars dans l'armement et le complexe militaro -industriel chaque année... sans compter le renflouement des banquiers où là carrément on perd ses meilleurs repères en ce qui concerne les chiffres et les nombres.

    Certaines personnes aux USA considère ces vues qui fait de la personne humaine un pure chiffre (chiffrage de l'humain) comme fasciste. Le terme est souvent galvaudé mais là, je ne trouve pas qu'il le soit. Le jour où le peuple américain comprendra qu'il engraisse un système d'oligarques et que cela n'a rien à voir avec " un gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple", il aura fait lui aussi un grand pas vers la liberté. C'est à dire la sienne et pas celle de Ben Bernanke ou le fieffé incompétent et grotesque Alan Greenspan.

  6. maxou dit :

    @Nipontchic, vous avez gagnez, cherché e vous une autre tête de Turque, vous voulez que je quitte le bloge, vous avez gagné e, je le quitte avant d'être incorrecte, je suis un gentil garçon mais faut pas pousser, là c'est de l'acharnement.
    Vous allez être malheureux euse, de ne plus m'avoir; il vous faut en choisir un ou une autre......Mais là je craint pour vous ?

    @Jennifer je suis désolé je n'avais vraiment pas l'intention de quitter le Blog, et je suis sincère avec toi ! Même si tu peut pensé le contraire, je voulais rester ! Mais là c'est pas possible je gène Nipontchic.
    J'espère que nous nous rencontrerons dans les Luttes pour notre Front de Gauche ?

    Bon courage à tous, sauf à Nipontchic, la méchanceté n'a pas besoin de courrage.

  7. maxou dit :

    @Nipontchic, vous avez gagnez, cherché e vous une autre tête de Turque, vous voulez que je quitte le bloge, vous avez gagné e, je le quitte avant d'être incorrecte, je suis un gentil garçon mais faut pas pousser, là c'est de l'acharnement.
    Vous allez être malheureux euse, de ne plus m'avoir; il vous faut en choisir un ou une autre......Mais là je craint pour vous ?

    @Jennifer je suis désolé je n'avais vraiment pas l'intention de quitter le Blog, et je suis sincère avec toi ! Même si tu peut pensé le contraire, je voulais rester ! Mais là c'est pas possible je gène Nipontchic.
    J'espère que nous nous rencontrerons dans les Luttes pour notre Front de Gauche ?

    Bon courage à tous, sauf à Nipontchic, la méchanceté n'a pas besoin de courage.

  8. BA dit :

    L’Etat français, et donc les contribuables français, ont payé très très cher pour sauver la BNP de la faillite.

    « En avril 2009, l'Etat français devient le premier actionnaire de BNP Paribas avec 17 % du capital. »

    http://fr.wikipedia.org/wiki/BNP_Paribas

    Dans ces conditions, il est insupportable que la BNP se prépare à distribuer 1 milliard d’euros aux traders de la BNP.

  9. maxou dit :

    @Hold-up, j'ai pas cautionné la réforme d'Obama, j'ai juste envoyé un article pour faire comprendre à Nipontchic qu'il commence vraiment à m'énerver, ça commence à tourner au ridicule
    post 358 à 17 :44, est un exemple, il épluche tous les articles qui pourraient me toucher, il critique aussi bien l'huma, le PCF, bref il veux que je quitte le blog, et bien il à gagné, il trouvera une autre tête de turque ! Le programme d'Obama à été envoyé juste pour l'ennuyer !
    Bref à plus dans les combats contre Sarko et dans les manif pour le Front de Gauche.
    Bien à toi

  10. Hold-up dit :

    @ maxou

    M'enfin "maxou" ! Pourquoi le prenez-vous comme ça : IL NE FAUT PAS PARTIR !
    Nous avons besoin de vous ! Vous envoyez de très bons articles. Et nous avons besoin de vos commentaires. La pluralité est importante sur ce blog, vous faites partie de celle -ci.

    L'article sur la course à pieds des chômeurs par exemple, si vous ne l'aviez pas envoyé cette info aujourd'hui, je ne l'aurais jamais su et elle vaut son pesant d'or ! Il y a des salauds en France qui vont faire courir des chômeurs à côté de patrons en espérant qu'ils trouveront ensuite un job, comme s'ils ne couraient pas déjà et qu'ils ne tiraient pas déjà la langue ! Ces crapules d'organisateurs ! Et pourquoi pas une petite pipe après ?

    Maxou, vous vous braquez inutilement, cela m'arrive parfois aussi, mais pourquoi prenez- vous la mouche ainsi ? L'autre jour je vous complimente sur un truc et après vous m'assassinez littéralement pensant que je me payais votre tête. Personne ne se paie votre tête ici sur ce blog.
    Et je ne crois pas - même si j'ai des vues critiques sur la façon de procéder - que " Nipontchic " veuille vous accabler. Je ne comprends pas tout à fait ce qu'elle fait, je lui ai dit mais elle s'en moque. Je m'en fous et elle aussi. Vous ne devez pas prendre systématiquement les critiques que l'on peut faire sur le PCF contre VOUS !
    Il y a visiblement une pluralité évidente au PCF pour que vous ne vous teniez pas responsable personnellement de tout. Et même si je ne comprends pas les motivations de " Nipontchic " à nous balancer des histoires internes au PCF, pourquoi ne pas plutôt en parler avec les autres blogueurs plutôt que de partir ?

    Restez " maxou " et oubliez " Nipontchic " si vous voulez. Ce blog sert à faire passer de l'information, du moins je le prends aussi ainsi. Il est important que vous continuiez à le faire. Jennifer est parti en vacances. Elle vous répondra sans doute plus tard. Mais elle vous dirais la même chose. Restez !

  11. Hold-up dit :

    @ maxou

    Je n'ai jamais dit que vous aviez cautionné la réforme Obama.
    Je vous avais remercié pour l'envoi de l'article de l'Huma sur la réforme Obama qui éclaircissait considérablement nos vues et qui confirmait les envois antérieurs que j'avais pu poster en prenant des gants au vu des articles trouvés sur un site un peu particulier.
    L'article de l'Huma confirme les données glanées sur le sujet et le fait que vous envoyiez " maxou " des informations qui corrobore celles d'autres bloggeurs ou les miennes, c'est capital comme initiative personnelle.
    Comprenez que c'est important et que c'est cette médiation citoyenne qui est l'essentiel, pas les désaccords passagers que l'on peut avoir entre nous.

  12. Hold-up dit :

    @ gardez le moral

    "Mais elle vous dirais " J'ai vu ! AïE !

  13. Nipontchik dit :

    maxou qu'est ce que c'est que ce délire?

    je sais bien que c'est pas toi qui trône place Fabien!

    et la distinction base-direction ça fait longtemps qu'on m'a appris à la faire!

    et puis je connais un peu la maison PCF: le côté immaculé de sa direction plus personne n'y croit (à part peut-être quelques permanents qui font semblant et qui en ont 1 besoin existentiel)

    donc on n'est plus (hélas peut-être) en 1953 et le coup du tableau de Picasso c'est fini: on peut critiquer et même plus R.Hue, MGB, la géniale famille Laurent grande salvatrice de municipalités communistes dans le 9-3 et même B.Thibault, GO manifestif qui emm**** bien Sarkozy

    et puis c'est très bien que tu envoies des articles de l'Huma, les derniers personne n'aura eu de mal à les décrypter

    Allez, salut et j'espère, que pour garder espoir, tu as d'autres lectures d'été que le dernier bouquin de Cohen Seat.

  14. toto dit :

    Pas de souci maxou,

    Nipontchik est un anticommuniste primaire.

  15. Nipontchik dit :

    contre la désinformation impérialiste et journalistique à propos du Venezuela:

    http://aporrea.org/actualidad/n139920.html

  16. maxou dit :

    Monde

    La résistance hondurienne en marche
    Honduras. Un mois après le putsch contre le président Zelaya, ses sympathisants sont toujours mobilisés. Mais la diplomatie fait du sur place.
    La résistance hondurienne n’a pas dit son dernier mot. Le front de résistance contre le coup d’État qui a renversé le président élu, Manuel Zelaya, le 28 juin, a appelé, à partir de demain, à deux marches nationales qui convergeront le 10 août, vers Tegucigalpa, la capitale, et vers San Pedro Sula, poumon économique et deuxième ville du nord-ouest du Honduras. Hier, les sympathisants du chef de l’État déchu ont rendu un ultime hommage aux deux enseignants tombés sous les balles de la répression policière lors des manifestations de ces derniers jours. Endeuillés, les mouvements sociaux continuent néanmoins de défier les autorités putschistes. « Nous devons être optimistes, nous sommes sur le chemin de la victoire et du retour de Zelaya, a déclaré à Prensa Latina, Israel Salinas, secrétaire général de la Fédération des travailleurs. Nous sommes parvenus à unifier le peuple et nos organisations. » Un optimisme qui tranche singulièrement avec le marasme diplomatique ambiant.

    La balle est dans le camp des états-unis

    Après plusieurs jours passés à Ocotal au Nicaragua, à la frontière avec le Honduras, Manuel Zelaya doit rencontrer aujourd’hui les autorités mexicaines, partenaires stratégiques des États-Unis dans la région dont on peine encore, aujourd’hui, à déchiffrer la stratégie. Certes, Washington a de nouveau élevé la voix à l’encontre des autorités de facto, en refusant, la semaine dernière, d’octroyer des visas à quatre de ses membres. Mais pas de quoi déstabiliser le gouvernement de Roberto Micheletti. La rencontre de Mexico altérera-t-elle le statu quo qui sévit depuis le coup d’État ? Dimanche, Manuel Zelaya se serait entretenu avec des représentants des États-Unis au Nicaragua où il a trouvé refuge. Mais sans que rien ne filtre de l’entrevue. L’Organisation des États américains (OEA), l’organisme le plus actif depuis le début de la crise, qui devait se réunir la semaine dernière pour évaluer la situation au Honduras, a reporté sa session. Quant à la médiation du président costaricain, Oscar Arias, dont les propositions ont été rejetées par les autoproclamés de Tegucigalpa, elle semble, elle aussi, engagée dans une impasse. Encore une fois, la balle est dans le camp des États-Unis.

    La sécurité du continent en péril

    Dans un entretien accordé à Telesur, Manuel Zelaya a fait part de son inquiétude quant au fait que le coup

    d’État au Honduras pourrait faire école. « C’est un exemple qui peut décomposer l’Amérique latine, a-t-il averti. Et mettre en péril la sécurité de l’hémisphère et le propre peuple des États-Unis. » Il a souligné la responsabilité de personnes « d’extrême droite (qui) se positionnent en faveur du coup d’État », en citant l’exemple de l’ex-secrétaire adjoint pour l’Amérique latine, Otto Reich. En multipliant les déclarations contradictoires, l’administration états-unienne révèle des divisions internes qui, à ce jour, servent en premier lieu les putschistes. Au point d’autoriser Roberto Micheletti à invectiver (avec quels appuis ?) la première puissance mondiale. « Il n’existe aucun pays, aucun peuple assez puissant pour nous faire plier », a-t-il persiflé après l’épisode des visas. Un « drôle » de putsch…

    Cathy Ceïbe

  17. Nipontchik dit :

    Le Patronage laïque du 15ème menacé à nouveau par la municipalité de Paris !

    La rumeur se vérifie.

    La municipalité de Paris, menée dans ce cas par Anne Hidalgo, 1ère adjointe, projette bien de démolir le Patronage laïque du 15ème arrondissement, 72 avenue Félix Faure.

    Déjà, lors de la campagne des municipales de 2008, nous avions alerté la population sur l’annonce étrange dans la propagande de Mme Hidalgo de la construction de logements précisément au 72 avenue Félix Faure.

    Ces dernières semaines enfin, elle a bien voulu informé par écrit l’association et dévoiler une partie de ses intentions à l’occasion d’une réunion de pseudo « consultation » le 8 juillet. La démolition intégrale est programmée. Le projet immobilier est tellement ficelé que la 1ère adjointe est en état d’annoncer la construction de 18 « petits logements ».

    Mais qu’est-ce que les municipalités de Paris ont depuis des décennies contre le Patronage laïque ?

    En 2001, la municipalité Tibéri, avec l’ancien maire du 15ème Galy-Dejean, avait lancé la dernière attaque en date : étranglement financier, expulsion, démolition, projet immobilier…
    La mobilisation des usagers et des riverains, avec l’association et le Comité de défense étaient parvenus, une nouvelle fois, à sauver ce lieu unique à Paris. Tous ensemble, nous avions réussi à en faire un enjeu de la campagne des municipales. Le PS et Anne Hidalgo, débarquant dans l’arrondissement, s’étaient ralliés alors à la défense du Patronage et la municipalité de Paris a changé et abandonné l’attaque.

    http://pcf-paris15.over-blog.com/article-34166583.html

  18. maxou dit :

    Bonjour à tous,
    Vous avez raisons, Hold-ut et Toto, pourquoi je partirais du blog pour le plaisir d'une seule personne, là je viens d'envoyer un article de l'humanité daté du 10 août juste pour montrer à Nipontchc que l'huma à couvert le coup d'état au Honduras et parle de Zelaya.
    @Toto, j'avais bien remarqué que Nipontchic été un anti-communiste primaire, mais là tout le monde peut voir que c'était des attaques personnel !
    @Hold-up, oui vous avez raison, nous avons eu un petit différent pas bien grave d'ailleurs, certainement un manque de compréhension de ma part, bref pas bien grave !
    Mais Nipontchic, post aussitôt et à chaque fois derrière moi, un article pour me contrer même si ce qu'il ou elle dit n'a rien à voir avec les articles que j'envoie.

    Bon.... pour finir, je veux vous dire merci et je reste, même si, Nipontchic va être heureux de
    garder une tête sur laquelle il va pouvoir taper !
    Concentrons nous sur nos véritables ennemis !
    Bien à vous

  19. Nipontchik dit :

    la nouvelle sainte-alliance contre-révolutionnaire (tiré de aporrea.org )

    Invitación a video-conferencia y foro
    ¡Washington, Tel Aviv y Bogotá: trilogía de la conspiración en contra de la Revolución del Sur !

    tout antichaviste est 1 chien! (aux ordres de Washington)

  20. Pulchérie D dit :

    Je vous en prie, Nipontchik, n'insultez pas les chiens.
    Pensez plutôt aux cochons qui se vautrent dans le purin, aux grosses limaces qui bavent, aux serpents à sonnettes (et à sornettes).
    Mais entendre traiter nos braves canidés, nos toutous bien-aimés, d'anti-chavistes, ça me chavire !

  21. Nipontchik dit :

    scuse Pulchérie mais intellectuellement j'en suis resté à Kanapa 1948 et au congrès des intellectuels de Poznan
    il faut dire que j'ai été traumatisé dans mes années de lycée (c'était vers 1980) par la propagande éhontée faite par l'institution scolaire pour la "hyène dactylographe" et sa transcription de la philosophie de Heidegger qui convenait si bien à la petite bourgeosie individualiste française

  22. Nipontchik dit :

    "Dans l’imaginaire hérité de l’histoire de la conquête, du puritanisme, ceux qui ne travaillent pas sont des paresseux qui vivent de la charité publique, des impôts payés par les honnêtes gens qui travaillent dur. Car il y aurait toujours « une nouvelle frontière » à conquérir. Une idéologie qui ne perd pas de poids dans la récession qui frappe dans un pays qui a perdu l’hégémonie de jadis, mais qui continue à fournir des arguments au parti de la libre entreprise. Sous le déluge de pub télé des républicains, 42 % ont peur de voir leurs impôts augmenter et se prononcent contre la réforme (sondage du Wall Street Journal, jeudi dernier). Depuis toujours ces disciples ont tiré à boulets rouges sur les velléités de réforme du système de sécurité sociale des présidents Kennedy, Johnson, Carter, Clinton. À l’époque de celui-ci, Hillary Clinton avait dû capituler sans condition avec un projet légèrement plus avancé que celui d’Obama." (l'obamophile et clintoesque Humanité)

    Il faut quand même se poser la question de savoir qui paierait la réformette d'Obama; visiblement pas les Madoffs et les banques newyorkaises mais le coeur du salariat non précaire et des classes moyennes américaines, les petits Blancs et autres Hispaniques d'arrivée lointaine pour financer la précarisation et l'arrivée de nouveaux immigrants aux salaires moins élevés et avec très peu de garanties sociales

    Dans ces conditions ce genre de réforme c'est du pain béni pour le parti républicain et sa propagande du genre "travailler plus pour gagner plus". On a vu récemment me semble-t-il des trucs de goût là en Europe (avec les conséquences électorales qu'on sait sur la gauche).

  23. Pulchérie D dit :

    @ 382
    La phénoménologie de Husserl, revue par Heidegger, qui, a son tour, va tournebouler Hannah Arendt, le tout influençant les existentialistes, il y avait de quoi flanquer une inflammation des méringeoires à une potache des années 1980, et lui laisser de petites séquelles qui effrayent les ultra-sensibles comme Maxou.
    Maix ce n’est pas contagieux. Lire René Fallet (et pas seulement la Soupe aux choux). C’est tellement dingue qu’on effectue le rétablissement cérébral comme un trapéziste durant une exhibition.
    Bonne humeur et optimisme à tous deux, Maxou et Nipontchik

  24. BA dit :

    « En avril 2009, l'Etat français devient le premier actionnaire de BNP Paribas avec 17 % du capital. »

    http://fr.wikipedia.org/wiki/BNP_Paribas

    En tant que premier actionnaire de la BNP, l’Etat va-t-il accepter que la BNP verse 1 milliard d’euros à ses traders ?

    En tant que premier actionnaire de la BNP, l’Etat va-t-il accepter ce scandale insupportable ?

  25. Nipontchik dit :

    1 bolg au titre curieux et à l'idéologie douteuse mais pour remuer la m.... du café de Flore de 1938 à 1977...

    http://henridefersan.blogspot.com/2006/08/sartre-nest-pas-un-chien-cest-une-hyne.html

  26. 4 Août dit :

    @ BA

    Encore une histoire qui démontre que les banques sont en train de bien nous b.... :

    "L’essentiel de cet argent n’a pas été injecté dans les capacités productives des entreprises ou de l’économie réelle et forme ce que les banques elles-mêmes appellent des « excès de liquidités ».
    (...)
    Il y a un an, affirme Kucinich, ces surplus avoisinaient en moyenne 2 milliards de dollars par jour. Or, à l’heure actuelle, ils montent jusqu’à 877 milliards par jour et sont de 800 milliards en moyenne ! La Fed rémunère donc les banques pour l’argent avancé par les contribuables !
    (...)
    Le plus scandaleux est le fait que les 18 banques de Wall Street qui sont des « market makers » [qui déterminent l’orientation du marché] obtiennent d’avance tous les informations sur le type de bons la Fed achètera, informations qui leur permettront de spéculer à tout va sur des tendances de marché connu d’avance. Banco !"

    http://solidariteetprogres.org/article5667.html

  27. Nipontchik dit :

    Le juste et courageux combat de Gérin contre la burqa expliqué, de manière argumentée, aux nuls (en particulier aux trotskystes de La riposte):

    " Prenons la question concrètement, à partir de ce que tout militant peut vérifier dans la pratique. Qu’est ce qui freine ou accélère l’union du peuple de France, dans sa diversité ? La burqa est-elle un atout ou un frein pour un rassemblement large dans les quartiers populaires ? Poser la question, c’est y répondre. Les groupes qui veulent reproduire des modes de vies de communautés fermées, les organisations intégristes qui diffusent une propagande anti-républicaine et souvent fascisante, seront toujours et partout opposés à tout rassemblement sur un contenu de classe ! Quand des parents d’élèves se rencontrent pour préparer une manifestation contre une fermeture de classes, croyants ou non, voilés ou non, en pantalon ou en djellaba, ils peuvent se parler, se mettre d’accord, s’organiser ! Mais tout le monde voit bien que la burqa marque une volonté forte de s’isoler de tout rassemblement, enferme la femme dans une minorité sociale qui la sépare de sa classe alors que dans les quartiers, ce sont bien souvent les femmes qui organisent la résistance ! Laisser les courants intégristes organiser dans les quartiers populaires des familles qui sont « en dehors » de toute union possible du peuple, c’est cela, une excellente aubaine pour le gouvernement !"

    http://reveilcommuniste.over-blog.fr/article-34464768-6.html#comment45903228

  28. bernard01 dit :

    sur le site le monde.f
    l'ISLANDE face a un scandale bancaire de plusieurs MILLIARDS d'euros.

  29. BA dit :

    Oui, 4 Août,

    L'Etat est le premier actionnaire de la BNP. L'Etat possède 17 % du capital de la BNP. Est-ce que l'Etat va accepter que la BNP donne 1 milliard d'euros à ses traders ?

    C'est LA question pour les semaines qui viennent.

    Autre exemple de réchauffement social :

    Un représentant américain de l'usine Molex de Villemur-sur-Tarn, Eric Doesburg, a été agressé mardi soir par des salariés de l'usine, a indiqué mercredi 5 août le co-gérant de l'usine Marcus Kerriou, et le ministre de l'Economie, Christian Estrosi, a condamné l'agression.

    "Une quarantaine de personnes alcoolisées ont agressé verbalement puis physiquement Eric Doesburg", directeur du développement de Molex USA, "lors de sa sortie de l'usine vers 21H30" mardi, a indiqué à l'AFP M. Kerriou. "M. Doesburg a reçu des coups de poings et de pieds", a-t-il ajouté, précisant que lors de l'agression "M. Doesburg portait une attelle et se déplaçait avec une canne suite à une opération du genou". Selon M. Kerriou, les blessures ont été constatées par un médecin et "une plainte a été déposée".

    Le ministre de l'Economie et des Finances, Christian Estrosi, a condamné dans un communiqué "ces actes de violence exercés par une minorité qui desservent la cause des salariés et rendent encore plus difficiles les négociations".

    En grève depuis le 7 juillet, les salariés de Molex ont été informés mardi 4 août de l'arrêt des discussions entre la direction et un éventuel repreneur de l'usine de Villemur-sur-Tarn, près de Toulouse, qui doit fermer fin novembre.

    M. Estrosi, qui devait rencontrer mercredi à 14H00 Eric Doesburg, a précisé qu'il "le recevra dans quelques jours" et qu'il allait "s'entretenir téléphoniquement dans la journée avec le président du Groupe Molex, Martin Slark".

    http://www.e24.fr/entreprises/industrie/article119669.ece/Molex-un-representant-americain-de-l-usine-agresse.html

  30. 4 Août dit :

    Si ce chère patron n'est pas content des salauds de travailleurs français, qu'il se casse en Chine !

    "Pour la première fois apparemment en Chine, des salariés rendus furieux par l'annonce de leur licenciement pour cause de fusion de leur entreprise ont battu à mort l'un de ses dirigeants."

    http://www.e24.fr/economie/monde/article115733.ece/Des-salaries-chinois-furieux-tuent-leur-patron.html

  31. 4 Août dit :

    " Pour le meilleur ou pour le pire, situation révolutionnaire aux Etats-Unis.

    (...) Si en France, la situation peut paraître plus calme, cela pourrait rapidement changer. L’Etat à donné 5 milliards d’euros à BNP Paribas et la première banque française s’apprête à verser un milliard en bonus à ces traders (qui doivent probablement être en train de spéculer sur le pétrole où l’hyperinflation à venir). N’avaient-on pas aboli les privilèges il y a 220 ans de cela, la nuit du 4 août 1789 ?"

    http://solidariteetprogres.org/article5668.html

  32. Hold-up dit :

    @ 4 Août

    As -tu lu le post 374 ? La Nuit du 4 Août de Paul Jorion ?

    Sinon sur les banques, les banquiers- voleurs, la rapine et
    le bon peuple (américain) :

    lire le texte : "Le temps qu’il fait, le 31 juillet 2009 " de Paul Jorion
    http://www.pauljorion.com/blog/?p=3956

    Sur les foutaises des contrôles des banquiers depuis Mathusalem
    - Trop drôle (et percutant).

    "La banque, le consultant naïf et le régulateur " de Paul Jorion
    http://www.pauljorion.com/blog/?p=3952

  33. Hold-up dit :

    L'esthétique néofasciste de "Terminator" dans les années 80 sous Reagan et Thatcher avait beaucoup aidé pour tailler le corps social en pièces et pourrir les têtes. "Rambo" était par trop caricatural. "Terminator " lui, était plus sophistiqué et ne s'adressait pas aux mêmes QI ni à la même génération. Il projetait une lumière froide sur un futur qui vient si nous laissons faire. Notre petit président est déjà un sous-fifre cloné de la génération " Terminator ". Il frisonne en extase devant la puissance d'acier et autres pauvres Robocop. Le film "Gladiator" aujourd'hui prends la relève en plus " tribal " et tripal - Je me fous de ce pauvre cinéma, mais je sais y voir modérément quelque symptômes.

    Tout ça pour renvoyer à cet article au titre cynique qui dénonce l'incroyable puissance du gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger, qui s'attaque aux pauvres, aux handicapés et aux enfants. Quel pitoyable génie !

    "Californie : courageux, « Terminator » s’en prend aux handicapés et aux malades" : http://solidariteetprogres.org/article5664.html

  34. Hold-up dit :

    " La Fed rémunère donc les banques pour l’argent avancé par les contribuables ! "

    Texte à lire : Abattons la Réserve fédérale, « vache à lait » des spéculateurs !
    http://solidariteetprogres.org/article5667.html

  35. BA dit :

    « Aides agricoles : la France a jusqu'au 29 septembre pour réparer ses fautes.

    La Commission européenne a accordé à la France un nouveau délai, jusqu'au 29 septembre, pour détailler son action afin de recouvrer des aides accordées illégalement aux producteurs de fruits et légumes qui ignoraient être en faute en les acceptant. »

    http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=5ab5ff9f4e1fb8e86ecfe7755f1e988b

    J’adore cette phrase : « La Commission européenne a accordé à la France un nouveau délai » !

    La Commission européenne est trop bonne avec les gueux !

    La Commission européenne est trop bonne avec les manants !

    La Commission européenne est trop bonne avec les agriculteurs !

    Aux fourches !

    Aux fourches, citoyens !

  36. Nipontchik dit :

    "bernard01 dit: 5 août 2009 à 13:56
    sur le site le monde.f
    l’ISLANDE face a un scandale bancaire de plusieurs MILLIARDS d’euros."

    La faillite financière du capitalisme arrivera bien avant la destruction écologique de la planète!
    Quant aux finances publiques françaises Sarko-Guaino-Devedjian (voir Echos de ce matin pour ce dernier) les ont bien plombées, faisant exploser les critères de Maastricht.
    Et en plus les peuples coloniaux se révoltent: y aura-t-il assez de gendarmes pour la Nelle Calédonie ET la Guadeloupe (dont les Blancs foutent le camp)?
    Et y aura-t-il du pognon (sans nouvel impôt qui éreinterait sa base sociale) pour financer une petite "OPEX" si besoin est par ex en Côte d'Ivoire ou au Gabon sans parler de la Somalie?
    C'est pas les rfonds de tiroir genre suppression des apparts de fonction qui vont résoudre la cavalerie des finances publiques.
    Affaires à suivre, au delà du fracas annoncé des petites phrases des universités d'été.

  37. Hold-up dit :

    "Si en France, la situation peut paraître plus calme, cela pourrait rapidement changer.
    L’Etat à donné 5 milliards d’euros à BNP Paribas et la première banque française s’apprête à verser un milliard en bonus à ces traders (qui doivent probablement être en train de spéculer sur le pétrole où l’hyperinflation à venir). N’avaient-on pas aboli les privilèges il y a 220 ans de cela, la nuit du 4 août 1789 ?"

    Lu sur le net -
    Il faut lire le lien qu'à donné " 4 Août " et regarder les Vidéos !

    "Pour le meilleur ou pour le pire, situation révolutionnaire aux Etats-Unis " :

    Extrait :

    "Comme nous l’annoncions la semaine dernière, les Etats-Unis sont pris dans un processus de désintégration qui emportera la plupart des pays du monde d’ici à l’automne si rien n’est fait. L’espoir qu’avait suscité l’élection d’Obama est en train de se transformer en colère : la nouvelle présidence américaine a poursuivi le renflouement de Wall Street pour un montant avoisinant les 24 000 milliards de dollars. Pour s’attaquer au déficit public, Washington a préféré s’en prendre aux malades plutôt qu’aux spéculateurs, tout en laissant croître un chômage qui avoisine les 30% de la population active et en laissant tomber en faillite 48 des 50 Etats américains, qui doivent procéder à des coupes massives dans les services publics. De retour dans leurs circonscriptions pendant le mois d’août, les élus au Congrès de Washington font face à la colère de leurs concitoyens qui en sont déjà au stade du lynchage verbal. "

    http://solidariteetprogres.org/article5668.html

    Il va arrivé au Peuple Américain ce qu'il est arrivé en Argentine entre 1998 et 2002. En bien plus dramatique vu qu'on est aux USA,la première puissance au monde, et que là -bas, quasiment tout le monde est armé et que les armes sont en vente libre.
    Pour l'instant les Américains sont en train de comprendre qu'ils ne vivent pas en " démocratie" que leur gouvernement n'est pas " un gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple " et que les deux principaux partis s'entendent à merveille pour se partager les biffetons sur le dos des populations, bonnes qu'à envoyer des produits vivants en chair et en os sur le théâtre des opérations militaires des guerres impériales.
    Le choc va être dur à encaisser pour cette nation qui avait prétention, comme tout empire, à vouloir diriger la planète entière et envisage encore de mettre sous le joug néolibéral les peuples du monde entier. Dur -dur.

  38. 4 Août dit :

    @ BA

    Je mets ici 2/3 phrases de ton lien, tellement elles démontrent la nature... oui, fasciste le la commission:

    "Il ne faut pas prendre la Commission comme bouc émissaire d'une situation qui n'a pas été créée à Bruxelles", a averti le porte-parole.

    (Ah bon ?)

    "La responsabilité première revient à ceux qui ont mis en place un système de nature à établir une organisation commune de marché en parallèle à l'organisation commune de marché européenne", a-t-il insisté.

    (On est dans la m**** pour nos collectivisations...)

    "En clair, les autorités françaises se sont mises en infraction et il leur appartient d'assumer leurs responsabilités, sans chercher à reporter la faute sur Bruxelles."

    (Comme ceux qui aident les sans papiers)

    "Mais soyons clairs. Nous ne mettons pas le couteau sous la gorge. Le 29 septembre ne sera pas la fin de l'histoire. Personne ne devra rembourser du jour au lendemain", a confié à l'AFP un haut responsable de la Commission qui a souhaité ne pas être identifié

    (Certainement un gars du PSE qui a peur des fourches et des piques)

    http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=5ab5ff9f4e1fb8e86ecfe7755f1e988b

  39. maxou dit :

    Les victimes et les rescapés

    Le rapport de l'IRHES soulignant l'impact des conséquences des restructurations, fermetures d'usines et autres délocalisations sur la santé des travailleurs, ramène à de plus modestes proportions les protestations de la poignée de directeurs d'usines et cadres supérieurs retenus quelques heures dans l'entreprise par des salariés en colère au cours su printemps dernier. Et que certains commentateurs de presse comme de politique en mal de dramatisation et de sensationnalisme n'hésitaient pas à nommer « séquestration ». La violence capitaliste, celle qui s'exerce froidement depuis les conseils d'administration et fait monter les cours de la Bourse, agit de manière plus sourde. Elle ruine la santé des salariés.

    Elle ne provoque pas « seulement » des dépressions, des crises de désespoir pouvant conduire au suicide, ce terrible sentiment d'incertitude et de fragilisation qui noue la gorge de certains employés dès l'entrée dans le bureau. Les spécialistes qui ont ont coordonné les résultats de leurs recherches à l'échelle européenne sont unanimes : l'anxiété, la surcharge de travail consentie par crainte de faire partie de la prochaine charrette, toute cette tension constitue un mélange détonant qui ébranle la santé, augmente les risques d'accidents cardiovasculaires, d'épuisement qui affaiblit la résistance du corps.

    La dégradation de la santé est la face immergée de l'iceberg, qu'on ne voit pas d'emblée dans les manifestations de travailleurs pour le maintien de leur emploi. Elle peut affecter celui qui est viré et celui qui ne l'est pas. C'est le syndrome du rescapé, du « survivant » qui peut conduire à l'auto-exploitation du salarié. Une nouvelle expression fait son apparition : le « présentéisme » qui conduit l'ouvrier à continuer à travailler malgré la maladie, en dépit de la fièvre ou des troubles
    musculo-squelettiques que l'on ne soigne pas. C'est ainsi que des hommes et des femmes sont traités dans le paradis libéral de la sainte Concurrence ! Les privatisations, c'est mauvais pour le social, et – la crise que nous traversons tend à le confirmer – c'est mauvais pour l'économie. Tout cela nous le savions déjà. L'étude nous apprend aujourd'hui que dans les pays d'Europe centrale ou l'ex-Union soviétique, où des plans de privatisations massives ont été menés, la mortalité moyenne des salariés des sociétés vendues au capital a notablement augmenté.

    L'état des lieux du paysage industriel ressemble en maints endroits à un champs de ruines. Les démolisseurs d'emplois aiment à tuer la concurrence par une politique de la terre brûlée. Au rythme où défilent dans toute l'Europe les plans de licenciements, qui affectent la santé des victimes est des survivants, c'est une véritable pandémie qui menace. On mesure alors combien il est vital pour le mouvement social, pour les forces de gauche, d'opposer une résistance massive contre les sabreurs d'emplois et les profiteurs des licenciements boursiers. L'enjeu n'est pas mince. Peut-on accepter, en se contentant d'en amortir le choc, la poursuite du déclin économique, qui fait souffrir les salariés et fait la fortune de la caste de la finance ? En cette journée du 4 août, il est encore besoin d'abolir quelques privilèges. La question de la réindustrialisation est posée. À la rentrée de septembre, la Fête de l'Humanité sera la prochaine occasion pour le monde du travail de se rassembler, de combattre. C'est bon pour la santé.

  40. Hold-up dit :

    "Pourquoi les patrons anglais portent plainte contre la France :

    "L'information est passée inaperçue de ce côté-ci de la Manche. La fédération britannique des petites entreprises a porté plainte contre la France devant la Commission européenne.En cause : le blocus des ports au début de l'année. Selon ces petits patrons, le gouvernement les a ruinés en refusant d'employer la manière forte avec les pêcheurs. La jurisprudence européenne pourrait bien leur donner raison."

    Article :

    http://eco.rue89.com/2009/08/05/pourquoi-les-patrons-anglais-portent-plainte-contre-la-france

    Conclusion : C'est quand qu'on se barre de cette Europe néolibérale ?

  41. Hold-up dit :

    Le 13 décembre 2009, les élections présidentielles auront lieu au Chili.

    Le Blog d'Alexis Corbière du PG :

    « Election présidentielle au Chili : "Se siente, se siente, Arrate Presidente ! "

    http://www.alexis-corbiere.fr/index.php?post/2009/08/03/Se-siente-se-siente-Arrate-Presidente

  42. maxou dit :

    @Dominique,
    je sais ne pas ?
    Et vous ?
    Ou, oui..... La révolution !

  43. maxou dit :

    @Dominique,
    Peut-être une solution à votre question, choisir un Parti politique, voter pour lui et si vous avez choisi le Bon Parti, et qu'il soit élu, Peut-être remédiera-t-il au problème en question, je me permet de vous donner une idée, Le PG, ou le Front de gauche !
    C'est vous qui voyez !
    Ou autre ?

  44. Gilles dit :

    @ Jean-Luc Mélenchon
    @ Toutes et tous

    En complément de mes post 352 et 362

    La Commission de Bruxelles vient d'imposer son diktat au gouvernement français et aux producteurs de fruits et légumes. Elle fixe la date du 29 septembre 2009.

    Les gesticualtions du Ministre de l'Agriculture après avoir demandé aux producteurs de fruits et légumes de rembourser les sommes essayait depuis hier de gagner du temps, de calmer le jeu, de proposer une expertise et des aides en exo de charges. Peine perdue, la commission de Bruxelles, bureau oligarchique et a-démocratique s'en fiche des avis du ministre français et des producteurs français. Elle veut récupérer son pognon et épurer au maximum avant 2011.

    L'Humanité d'aujourd'hui explique bien les choses comment reprendre d'une main libérale et capitaliste ce que la main régulatrice et protectrice avait de l'autre. L'agriculture capitalisme et libéralisée est en marche. Bonjour les victimes de cette concurence libre et non faussée.

    J'aimerai que le PG prennent à bras le corps le sujet de l'agriculture, des structures agricoles. Là aussi il faut penser socialisation et rupture avec le capitalisme et le productivisme.

    Il faut développer de vraies coopératives et union de producteurs associés. Faire de la terre et du foncier propriété publique et sociale. Organiser et soutenir les marchés dans le cadre d'offices par produits dans le cadre d'une planification sociale et écologique.

    La réflexion, le programme, les propositions du PG sur le sujet agricole, sur l'agriculture est proche du néant. Que chique de sérieux et rien de concret formulé. Un court passage fait référence à l'agriculture sur quelques lignes et encore dans le cadre de la vision un peu trop surdimensionnée de l'écologie qui ^regorge un peu trop de nos premiers textes. Le militant du PG que je suis souhaite que le PG traite du sujet de l'agriculture et de la ruralité dans le cadre d'une rupture avec le capitalisme et le productivisme, dans le cadre d'une économie socialiste. En rester qu'au domaine de l'alterdéveloppement et de l'écologie c'est totalement ignoré le problème dans son entier.

    L'agriculture n'a jamais été le point fort des partis de gauche quels qu'ils soient et cela depuis plus d'un siècle.

    Le PS est sur la même ligne que la droite. L'extrème gauche ou l'autre gauche l'aborde que sur le versant écologique ou tiers mondiste. Rien de concret, le néant total et c'est fort dommage. Nous laissons ce domaine d'activités et de citoyenneté à la logique libérale et surtout à la culture politique et économique de la droite.

    Il serait de se réveiller et d'analyser les choses et de proposer sur ce sujet !

    Le rare socialiste à aborder le sujet, c'était Jean Jaurès il y a plus d'un siècle. Certes il soutenait les petits paysans donc la petite propriété privé agricole mais il proposait des ruptures par l'association, la coopération, la propriétaie communale des terres et souhaitait une réforme des impôts fonciers. Ils proposait aussi caisses de secours et de retraites pour les paysans et parler des ouvriers agricoles comme semblables aux prolétaires.

    Ces discours à la Chambre sont d'une actualité brulante alors qu'ils de 1892 notamment, ses écrits dans études socialistes sont également très poussées dans le domaine agricole. Sans dogme, on devrait nous aussi réfléchir à une agriculture socialiste et pas simplement une agriculture dégagée du productivisme.

  45. bernard01 dit :

    L'oligarchie financiere a poser ses jetons depuis bien longtemps,
    sous la bienveillance des politiques(droite-gauche)confondus.
    l'economie reposant sur une partie des salaires,cette économie nous a obligé
    a accepter les cheques,puis vinrent les cartes bancaires.
    en 82 on m'a proposé une carte par l'intermédiaire du caissier,je lui ai repondu
    que c'etait son boulot qu'il me proposait,carte de credit que j'appelle carte de
    débit aujourd'hui.
    SI tous les FRANCAIS ayant un compte en banque,retiraient leur argent de
    leurs comptes cela fouterait une sacrée pagaille,il y a bien d'autres moyens
    de paiement.Les oligarques financiers seraient pris a leur propre jeu,cela
    obligerait,comme le soumet m ATTALI,qui n'est pas ma tasse de thé,et
    le sénat ITALIEN pour le sommet du G20 de PITTSBURGH un nouveau
    BRETTON-WOOD.
    sujet a lire sur solidaritéetprogres.org G 20 de PITTSBURGH:le senat
    ITALIEN veut un nouveau BRETTON-WOOD.art-du 31 juillet09.
    il serait interressant également de signer la pétition sur le meme site
    d'un appel a constituer sans délai une commission d'enquete parlementaire
    sur la crise financiere.@hold-up je ne suis pas larouchiste,mais je me sers des infos qui me conviennent sur le net.bernard01

  46. 4 Août dit :

    Je ne peut pas m'empêcher de mettre ce lien pour qu'on arrête de nous culpabiliser (et nous racketter) avec le CO2:

    http://www.alterinfo.net/Le-consensus-sur-le-climat-encaisse-un-autre-coup_a35421.html

  47. BA dit :

    Grève en Corée du Sud : les forces anti-émeute assiègent l'usine Ssangyong de Pyeongtaek.

    Après 2 mois d'occupation, fin juillet, 3000 policiers, 30 véhicules, des hélicoptères ont été envoyés et ont investi l'usine pour déloger les grévistes qui ont une nouvelle fois violemment répliqué.

    Attaqués au gaz lacrymogène, aspergés de produits chimiques, certains ont abandonné le siège, mais environ 600 se sont retranchés dans un entrepôt de peinture contenant beaucoup de produits dangereux et/ou inflammables et ont répondu avec des cocktails Molotov et des pneus enflammés. Ils affirment "vouloir résister jusqu'à la mort".

    Depuis, le début du conflit, 5 salariés sont morts et la femme d'un des meneurs viendrait de se suicider.

    Aujourd'hui, les dernières négociations n'ont pas abouti et le siège de l'usine par les forces de l'ordre s'est renforcé. La Confédération Syndicale Internationale (CSI) s'inquiète de cette escalade vers la violence :

    " Nous sommes profondément inquiets du blocus imposé sur l'approvisionnement en eau et en nourriture et l'accès aux traitements médicaux, ainsi que des tirs incessants au gaz lacrymogène et autres substances chimiques sur l'usine à partir d'hélicoptères. Ceux-ci représentent une atteinte criante à la dignité humaine la plus élémentaire. "

    La CSI a appelé le gouvernement coréen à amorcer immédiatement des négociations avec le Syndicat coréen des ouvriers du métal et à tenter de trouver la voie d'une résolution pacifique à travers le dialogue. Avant un drame encore plus grand.

    Voir des photos extraordinaires à cette adresse :

    http://news.caradisiac.com/Greve-en-Coree-les-forces-anti-emeute-assiegent-l-usine-Ssangyong-de-Pyeongtaek-406


Blog basé sur Wordpress © 2009/2015 INFO Service - V3 Archive